TARENTULE
Il existe deux genres de châtiments : corporel et moral. Le premier consiste à
marquer le corps du châtié; le second à placer le châtié dans une situation psychologique pénible.
Les bonnes conditions pour mieux épanouir sa perversité
Dans le BDSM, les châtiments corporels sont la base des jeux. Les traitements infligés sont plus ou moins durs face à une réponse, à une
attitude considérée par le Dominant comme condamnable ou inappropriée.
Le Dominant peut également provoquer volontairement une punition en poussant le soumis à la faute.
On peut noter que le Dominant utilise volontiers le prétexte du « bon comportement » que le soumis doit avoir dans l’intimité ou
dans un groupe. Il sait utiliser les points faibles de son soumis, en le rendant ridicule ou coupable ou blessé sa pudeur.
Ce qui le place ou le maintient dans une situation mentale favorable aux châtiments. Peu importe le motif déclencheur, dans tous les cas le Dominant impose une situation ou un comportement
désagréable au soumis dans le but de le rappeler à l'ordre ou de le dissuader de tout écart de conduite.
Il peut aussi faire appel à une tierce personne afin de placer son soumis en situation de châtiments.
Les châtiments physiques et/ou psychiques répétées ou en continues, permettent au Dominant d’avoir un contrôle en continu, il entretien également les principes de « récompense », de
« punition ». Il se délecte également du registre émotionnel de son soumis comme la peur, l’angoisse, la honte, la pudeur, la timidité, l'espoir, le besoin de reconnaissance, le désir,
l'envie,... que de sentiments à exploiter !
En général, le châtiment est motivé soit par le désir d'enseigner par la contrainte, soit par la volonté de punir. Dans les deux cas, le dominant y associera l’humiliation physique et/ou
mentale.
Les châtiments corporels, les plus courants
La fessée, les fesses de la personne sont frappées à l'aide
de la main ou d'un instrument.
La flagellation, elle peut être très douloureuse, suivant le type de fouet et le nombre de coups.
La gifle,
un coup est porté sur la joue de la personne avec la main ou un gant : l'objectif principal est alors l'humiliation.
Dans le BDSM (toujours en accord avec le soumis) le Dominant use et abuse des techniques de "contrôle
mental" de ce fait le principe du libre-arbitre est pour cette raison réfuté ou minimisée par certains.
Personne ne nie en revanche de telles techniques en dehors de l'espèce humaine.
Avant de clore, un cas de dressage.
Les éléphants ont une durée de vie comparable à la durée de vie humaine, il est impossible de les dresser ou de les apprivoiser en leur faisant
croire qu'ils appartiennent à la famille ou à la meute de leur dresseur. La technique utilisée en Inde est de capturer l'éléphant puis d'alterner traumatismes et caresses. Un dresseur moleste
l'animal, tandis qu'un autre, qui deviendra son cornac, le nourrit, le soigne et le traite avec douceur. L'éléphant reste attaché à son cornac pour sa vie entière.
Ah, l’éducation ! Tout un Art …
Si cette punition est une occasion pour le soumis de se rapprocher de sa Dominante, de lui montrer sa contrition et sa bonne volonté... elle est bienfaisante !