TARENTULE


Début juin j’ai demandé à mon Major d’Homme, Monsieur Aywards, de passer une annonce dans la gazette du village.«  Recherche garçon d’écurie, robuste et travailleur. Présentez-vous au Manoir de Mortes Lunes Demandez Monsieur Aywards. » Je lui confiais la tâche de sélectionner ma future proie. En lui demandant de respecter les critères suivants : « un jeune homme entre vingt-cinq et trente ans ayant de bonnes recommandations. N’oublions pas que sa première besogne est de s’occuper de l’écurie et de mes chevaux ! ». Après cinq jours il devait me présenter les plus aptes à me servir.

Le jour convenu, j’ai prévu de les rencontrer en début d'après-midi, mais décide de rencontrer mon futur jouet après une ballade à cheval que je prolongeais volontairement.

Monsieur Aywards a préparé mon arrivée suivant mes consignes, il les a fait mettre en ligne devant l’écurie. J’avance vers eux au trot, d’une main je tiens les rennes et de l’autre ma cravache.

Il fait très chaud, je distinguais quelques gouttes de sueur sur leurs tempes, ils ont attendu plus d’une heure sous la chaleur accablante. A travers ma voilette en dentelle je les dévisage puis fais un signe à Monsieur Aywards pour qu'il me suivre, nous nous arrêtons devant l’entrée de l’écurie.

« Monsieur Aywards, parlez-moi brièvement de chacun d’eux. »

« Celui qui est le plus à droite a travaillé dans plusieurs châteaux et manoirs de la région, Madame, il est très vigoureux et a d’excellentes recommandations, bien qu'il paraisse arrogant il est vif d'esprit; mais je suis sûr que Madame saura le dompter. Quant au second son père est contremaître au Château de Valbrume, il a reçu une bonne éducation. Il est curieux et a le goût du risque, je pense qu’il ne vous décevra pas. Le dernier a travaillé pour la Duchesse de Croqmendel, et d’après les rumeurs le Duc se faisait chevaucher par celui-ci».

« Bien, est-ce que les chevaux ont été nourris et brossés ? »

« Oui, Madame. Le box de Méphisto a été également préparé. »

« Dites au fils du contremaître de venir me rejoindre et reconduisez les deux autres jusqu’aux grilles du manoir. Nous nous verrons plus tard. »

« Bien, Madame. »

Le jeune homme s’avance en tenant dans ses mains son béret qu’il tord légèrement, et s’arrête à quelques pas de moi. Je lui demande de se présenter.

« Je m’appelle Camil, mon père est contremaître au Château de Valbrume, aujourd’hui je souhaite me mettre à votre service ».Il m’explique qu’il a envi de parfaire son expérience, et surtout je perçois un réel désir de s’occuper de mes chevaux.

Je lui fais signe d’amener le montoir, il le met à hauteur de mes pieds et m’aide à descendre de Méphisto.

«Ôtes la selle de Méphisto, tu la rangeras à côté des autres. Puis tu l’emmèneras dans son box, c’est le quatrième sur la gauche, il y a déjà de l’eau fraîche et de l’avoine dans son auge. Ensuite va te rafraîchir à cette fontaine et viens me rejoindre, tu ressemble à un porc ruisselant ! Puis viens me rejoindre, je serais assisse sur le banc. Ne tardes pas, tu as vingt minutes ! ».

Pendant qu’il s’exécute, je m’assois à quelques pas de la porte sur le banc en fer forgé. Des plis de ma jupe je sors un étui, dans celui-ci il y a mon porte-cigarette, j’en mets une à l’extrémité et l’allume. J’esquisse un sourire, de vilaines petites pensées commencent à naître...

« Camil ! Tu as deux minutes de retard. »

« Veuillez m’excuser, Madame, je ne connais pas encore les lieux, j’ai.. »

« Tu m’ennuies avec tes excuses ! Saches que lorsque je te donne un ordre tu dois l’exécuter en temps et en heure ! » Mon regard est froid et ma voix glaciale, il contient son émotion.

« Comment puis-je vous être agréable ; Madame ? »

« Regardes mes bottes, de trop t'avoir attendu elles sont recouvertes de poussière. Elles ne doivent pas rester dans cet état ! »

Sans un mot, il met un genou à terre, prend appui sur celui-ci et place délicatement ma botte sur l’autre genou. Il ôte son béret et s’en sert comme chiffon pour les essuyer l’une après l’autre.

« Elles sont ternes, fait les briller ! »

Il se met à quatre pattes, pose sa bouche sur ma botte et je sens sa langue qui lèche délicatement et suavement chacune des mes bottes.

« Suis moi ! », nous rentrons dans l’écurie, et passons devant les box. Au bout de l’allée devant une porte en bois de chêne, j’ouvre la porte. A peine a-t-il fait quelques pas qu’un petit cri sort de sa bouche. Il est déconcerté, et fait lentement un tour complet sur lui-même pour mieux apprécier ce lieu de plaisirs - pervers. Plusieurs chandeliers fixés aux murs sont allumés, dans un coin un petit abreuvoir alimenté par une fontaine murale – j’aime regarder laper mon objet de plaisir dans l’abreuvoir - une selle sur une grosse souche de bois, des carcans, poulies, chaînes, cordes et bien d’autres accessoires sont à disposition …

« Mets-toi torse nu ! » Il s’exécute, je regarde son téton qui pointe, et pose mon ongle en biais. Je commence à l’enfoncer jusqu’à ce qu’apparaisse un petit sillon. Ses épaules se soulèvent légèrement, son souffle s’accélère et je reproduis l'acte mais cette fois-ci en sens inverse. Il se recroqueville. Pour qu’il reprenne la position initiale je lui enfonce mon doigt au creux de son épaule. Il se redresse, bombe son torse et une petite croix apparaît sur le téton. Je fais rouler délicatement le téton entre mon pouce et mon majeur, et presse celui-ci de plus en plus fort. De sa bouche s’échappe de petits gémissements. Je ressens tout son corps frémir. Mes doigts font office d’étaux, de pinces. Il s’offre encore plus à moi, sa douleur devient supportable car dans mon regard il y voit mon plaisir.

« Déshabilles-toi ! » Il est troublé, regarde furtivement autour de lui ; je ressens sa gêne mélangée à son excitation de se mettre à nu. Ses bras pendent le long de son corps, il fixe son regard sur ses pieds. Sa verge est raide et son gland est tout gonflé, de petites perles apparaissent. Je lui mets un collier et lui bande les yeux avec un masque en cuir. J’introduis ma main gauche dans un gant en cuir avec des picots en acier à l’extérieur. De ma main droite je lui effleure les épaules, le torse, le dos et son entre jambe. Sa respiration s’accélère, il a la chaire de poule, l’air se remplit d’une douce odeur de soumission et de son désir sexuel.

« Mets tes bras en avant tu pourras prendre appui sur la poutre. Maintenant, tu vas creuser le bas de ton dos et bien faire ressortir ta croupe ! Écartes légèrement tes jambes et offres ton cul à ta Maîtresse ! »

Je passe lentement le gant sur ses fesses en faisant de petites pressions pour qu’il apprécie mieux l’action des picots en acier. Je prends fermement ses fesses à pleine main et les écartes pour mieux voir son petit trou du cul encore vierge (il pousse un petit cri de plaisir). De la main droite je le fesse tout doucement en alternant avec des tapes plus forte et plus tranchées. Sans oublier de lui faire goûter les caresses épicés de mon gant.

«  Tu bouges et gémis comme une vierge en chaleur ! » Je passe ma cuisse entre ses jambes et positionne mon genou pour mieux écraser ses couilles, tandis que mes doigts caressent et pincent ses tétons encore sensibles.

« Madame faites de moi ce que vous voulez, mon corps vous appartient. »

« Ôtes ton masque, mets ce harnais ainsi que ces bracelets à tes poignets en attendant que je te choisisse un mors de bride. »

« Ouvres bien grand ta bouche ! Ce mors permet de garder la bouche ouverte, je pourrais mieux entendre tes cris de femelle ! » Il s’exécute pendant que je règle et attache le mors. J’attache les anneaux fixés aux bracelets de ses poignets à une corde qui est reliée à une polie au plafond. Je tire sur la corde afin qu’elle soit bien tendue et attache l’extrémité à un crochet mural. J’emprisonne ses chevilles dans un carcan. Et je lui fais goûter la douce puis la piquante morsure de mon fouet, j’alterne en utilisant deux martinets. Son corps a pris une belle couleur rouge. Lorsque je le frôle de mes doigts il frissonne, quand je le caresse il gémit de plaisirs et de douleurs. Je me mets face à lui et peux jouir de son regard demandeur, voir l’excédant de salive couler de sa bouche, sa queue encore en semi-érection. Je lui enlève son mors et le laisse dans la même position.

« Maintenant, je vais dépuceler ce petit trou tout étroit ! » Il est tout excité, son souffle s’accélère, il se cambre pour mieux m’offrir son cul tout en poussant de petits soupirs. Je lui écarte les fesses et excite son anus avec mon doigt. Puis j’introduis lentement un petit plug.

« Oh ! Madame, j’ai honte,… j'aime ça! »

« Tu ne peux jouir que du cul si tu éjacules, tu goûteras ta semence ! » Je détends légèrement la corde et lui ôte le carcan pour mieux le prendre avec un gode ceinture. Son anus accueille un gode long et gros, Je le prends par les hanches et commence à l’introduire. Je ressens sa chair m’accueillir, se déchirer puis s’adapter doucement puis de plus en plus violemment à mon phallus. Son cul est aussi chaud et humide qu’une chatte en chaleur, il aime quand je le baise. Il commence à jouir, j’accélère ses cris son de plus en plus forts, il finit dans un râle de plaisir. J’enlève le gode de son anus bien dilaté et vérifie qu’il n’a pas jouit.

« Je n’ai pu me retenir, Madame, … »

« Alors tu sais ce qu’il t’attend ! » Je prends avec mes doigts le sperme qui coule le long de sa queue et de ses couilles et les lui met dans sa bouche. Résigné il lèche goulument jusqu’à la dernière goutte.

Je le détache et le laisse tout nu, désorienté et dé-viergé. Avant de partir je lui dis que Monsieur Aywards viendra le chercher.

« Ce n’est que ta première leçon ! »

« Merci, Madame. »

 

Jeu 24 sep 2009 Aucun commentaire