• : TARENTULE
  • TARENTULE
  • : Déviances sexuelles
  • : L’univers BDSM est très riche, il est comme un arbre avec différentes ramifications diverses et variées. Je vous invite à partager quelques thématiques et vous souhaite une bonne visite. Que votre lecture soit attisée par ma webtoile. SMment, Tarentule
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Image du jour

 
Les 120 journées de Sodome ou L'École du Libertinage Marquis de Sade (1740 - 1814)
.

Les cent cinquante passions meurtrières, ou de quatrième classe, composant vingt-huit journées de février, remplies par les narrations de
la Desgranges, extraits du journal des événements scandaleux du château ce mois-là …  

Le premier de février.

1. Il aimait à s'amuser avec une pauvresse qui n'eût pas mangé de trois jours; et sa seconde passion est de laisser mourir une femme de faim au fond d'un cachot, sans lui donner le moindre secours; il l'observe et se branle en l'examinant, mais il ne décharge que le jour qu'elle périt.
2. Il l'y entretient longtemps, en diminuant chaque jour un peu de sa portion; il fait chier avant, et mange l'étron dans un plat.
3. Il aimait à sucer la bouche, à avaler la salive, et, pour seconde, il mure la femme dans un cachot, avec des vivres seulement pour quinze jours; le trentième jour, il y entre et se branle sur le cadavre.
4. Il faisait pisser et, pour seconde, il la fait mourir à petit feu en l'empêchant de boire et lui donnant beaucoup à manger.
5. Il fouettait, et fait mourir la femme en l'empêchant de dormir.


Le deux.

6. Il faisait chier dans sa bouche et mangeait à mesure; sa seconde est de ne nourrir qu'avec de la mie de pain et de vin. Elle en crève au bout d'un mois.
7. Il aimait à foutre le con; il lui donne, à la femme, une maladie vénérienne par injection, mais d'une si mauvaise espèce qu'elle en crève au bout de très peu de temps.
8. Il faisait vomir dans sa bouche, et, pour seconde, il lui donne, par le moyen d'une boisson, une fièvre maligne dont elle crève fort vite.
9. Il faisait chier, et, pour seconde, il donne un lavement d'ingrédients empoisonnés dans une eau bouillante ou de l'eau-forte.
10. Un fameux fustigateur place une femme sur un pivot sur lequel elle tourne sans cesse jusqu'à la mort.

Le trois.

11. Il aimait à donner des soufflets, et, pour seconde, il tourne le cou sens devant derrière, de manière qu'elle a le visage du côté des fesses.
12. Il aimait la bestialité, et, pour seconde, il aime à faire dépuceler une fille devant lui par un étalon qui la tue.
13. Il aimait à foutre en cul, et, pour seconde, il l'enterre à mi-corps, et la nourrit ainsi jusqu'à ce que la moitié du corps soit pourrie.
14. Il aimait à branler le clitoris, et il fait branler par un de ses gens une fille sur le clitoris jusqu'à la mort.
15. Un fustigateur, en perfectionnant sa passion, fouette jusqu'à la mort la femme sur toutes les parties du corps.

Le quatre.

16. Il aimait à serrer le cou, et, pour seconde, il attache la fille par le cou. Devant elle est un grand repas, mais pour y atteindre, il faut qu'elle s'étrangle elle-même ou qu'elle meure de faim.
17. Le même homme qui a tué la sœur de Duclos, et dont le goût est de patiner longtemps les chairs, pétrit la gorge et les fesses d'une si furieuse force qu'il fait mourir par ce supplice.
18. L'homme dont Martaine a parlé le 20 janvier, et qui aimait à saigner les femmes, les tue à force de saignées renouvelées.
19. Celui dont la passion était de faire courir une femme nue jusqu'à ce qu'elle tombe, et dont on a parlé, a, pour seconde, de l'enfermer dans une étuve brûlante, où elle meurt comme étouffée.
20. Celui dont Duclos a parlé, qui aimait à se faire emmailloter et à qui la fille donnait sa merde au lieu de bouillie, serre une femme si étroitement dans des langes qu'il la fait mourir ainsi.


Le cinq.

21. Il aime en première passion la bestialité, et, pour seconde, il coud la fille dans une peau d'âne toute fraîche, la tête en dehors, il la nourrit, et on la laisse là-dedans jusqu'à ce que la peau de l'animal l'étouffe en se rétrécissant.
22. Celui dont Martaine a parlé le 15 janvier, et qui aimait à pendre en jouant, pend la fille par les pieds et la laisse là jusqu'à ce que le sang l'ait étouffée.
23. Celui du 27 novembre, de Duclos, qui aimait à faire saouler la putain, fait mourir la femme en la gonflant d'eau avec un entonnoir.
24. Il aimait à molester les tétons, et perfectionne cela en enchâssant les deux tétons de la femme dans deux espèces de pots de fer; ensuite, on place la créature, ses deux tétons ainsi cuirassés, sur deux réchauds, et on la laisse crever dans ces douleurs-là.
25. Il aimait à voir nager une femme, et, pour seconde, il la jette dans l'eau, et la retire mi-noyée; il la pend ensuite par les pieds pour faire dégorger l'eau. Dès qu'elle est revenue à elle on la rejette, et ainsi plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elle crève.


Le six.

26. Sa première passion était de jeter une femme dans un brasier avec un coup de pied au cul, mais dont elle sortait assez tôt pour ne souffrir que fort peu. Il perfectionne en obligeant la fille à se tenir droite devant deux feux, dont l'un la grille par-devant et l'autre par-derrière; on la laisse là jusqu'à ce que ses graisses soient fondues.
27. Il aimait à gêner la respiration avec ses mains, soit en serrant le col, soit en pesant longtemps sa main sur la bouche, et il perfectionne cela en étouffant entre quatre matelas.
28. Celui dont Martaine a parlé et qui donnait à choisir de trois morts, brûle la cervelle d'un coup de pistolet sans laisser de choix; il encule, et en déchargeant il lâche le coup.
29. Celui dont Champville a parlé le 22 décembre, qui faisait sauter dans la couverture avec un chat, la précipite du haut d'une tour sur des cailloux, et décharge en entendant sa chute.
30. Celui qui aimait à serrer le cou en enculant, et dont Martaine a parlé le 6 janvier, encule la fille, un cordon de soie noire passé autour de son cou, et décharge en l'étranglant.

Le sept.

31. Il aimait primitivement à foutre une femme assoupie, et il perfectionne en faisant mourir par une forte dose d'opium; il l'enconne pendant le sommeil de mort.
32. Le même homme dont elle vient de parler, et qui jette plusieurs fois dans l'eau, a encore pour passion de noyer une femme avec une pierre au cou.
33. Il aimait à donner des soufflets, et, pour seconde, il lui coule du plomb fondu dans l'oreille pendant qu'elle dort.
34. Il aimait à fouetter sur le visage. Il tue tout de suite la fille d'un vigoureux coup de marteau sur la tempe.
35. Il aimait à voir brûler jusqu'au bout une bougie dans l'anus de la femme: il l'attache au bout d'un conducteur, et la fait écraser par le tonnerre.
36. Un fustigateur. Il la braque en posture à la levrette, au bout d'une pièce de canon; le boulet l'emporte par le cul. Ce jour-là, on a trouvé l'évêque enculant la troisième servante. Il paye l'amende; la fille est mandée aux orgies, le duc et Curval l'enculent et l'enconnent, car elle est vierge; puis on lui donne huit cents coups de fouet: deux cents chacun.

Le huit.

37. Il aimait à fouetter sur tout le corps avec un nerf de boeuf, et c'est le même dont Martaine parle, qui roua en effleurant trois membres et n'en cassant qu'un. Il aime à rouer tout à fait la femme, mais il l'étouffe sur la croix même.
38. Celui dont Martaine a parlé, qui fait semblant de couper le cou de la fille et qu'on retire par une corde, le coupe très effectivement en déchargeant. Il se branle.
39. Celui du 30 janvier, de
la Martaine, qui aimait faire des scarifications, fait passer par les oubliettes.
40. Il aimait à fouetter des femmes grosses sur le ventre, et perfectionne en laissant tomber sur le ventre d'une femme grosse un poids énorme qui l'écrase sur-le-champ, elle et son fruit.
41. Il aimait à voir nu le col d'une fille, à le serrer, le molester un peu: il enfonce une épingle vers la nuque du col dans un certain endroit, dont elle meurt sur-le-champ.
42. Il aimait à brûler doucement, avec une bougie, sur différentes parties du corps. Il perfectionne en jetant dans une fournaise ardente, qui est si violente qu'elle est à l'instant consumée.


Le neuf.
43. 11 aimait à faire des piqûres d'épingles, et, pour seconde, décharge en donnant trois coups de poignard dans le cœur.
44. Il aimait à faire brûler de l'artifice dans le con: il attache une jeune fille mince et bien faite, pour baguette, à une grosse fusée volante; elle est enlevée et retombe avec la fusée.
45. Le même remplit une femme de poudre dans toutes ses ouvertures, il y met le feu, et tous les membres partent et s'écartent à la fois.
46. Il aimait à faire prendre, par surprise, de l'émétique dans ce que mangeait la fille: il lui fait pour seconde, respirer une poudre dans du tabac ou dans un bouquet, qui la jette morte à la renverse sur-le-champ.
47. Il aimait à fouetter sur le sein et sur le col: il perfectionne en jetant à bas d'un coup de barre vigoureusement appliqué sur le gosier.
48. Elle vient chier devant le paillard, il la gronde, il la poursuit à grands coups de fouet de poste dans une galerie. Une porte qui donne sur un petit escalier s'ouvre, elle y croit trouver sa sûreté, elle s'y jette, mais une marche manque et la précipite dans une baignoire d'eau bouillante qui se referme aussitôt sur elle et où elle meurt brûlée, noyée, et étouffée. Ses goûts sont de faire chier et de fouetter la femme pendant qu'elle chie.

Le dix.

49. Un homme, dont le goût était de foutre en cul, et jamais autrement, empoisonne toutes ses femmes; il est à sa vingt-deuxième. Il ne les foutait jamais qu'en cul et ne les avait jamais dépucelées.
50. Un bougre invite des amis à un festin, et en empoisonne une partie, chaque fois qu'il donne à manger.
51. Celui du 26 novembre, de Duclos, et du 10 janvier, de Martaine, lequel est bougre, fait semblant de soulager des pauvres; il leur donne des vivres, mais ils sont empoisonnés.
52. Le bougre a l'usage d'une drogue qui, semée à terre, jette morts à la renverse ceux qui marchent dessus, et il s'en sert très souvent.
53. Un bougre a l'usage d'une autre poudre qui vous fait mourir dans des tourments inconcevables; ils durent quinze jours, et aucun médecin n'y peut rien connaître. Son plus grand plaisir est de vous aller voir quand vous êtes dans cet état.
54. Un bougre, avec les hommes et avec les femmes, a l'usage d'une autre poudre, dont l'effet est de vous ôter l'usage des sens et de vous rendre comme si vous étiez mort. On vous croit tel, on vous enterre, et vous mourez désespéré dans votre bière, où vous n'êtes pas plus tôt, que la connaissance vous revient. Il tâche de se trouver au-dessus de l'endroit où vous êtes enterré, pour voir s'il n'entendra pas quelques cris; s'il en entend, il s'évanouit de plaisir. Il a fait mourir ainsi une partie de sa famille.


Le onze.

55. Un bougre allait souvent chez des connaissances ou des amis, et ne manquait jamais d'empoisonner ce que cet ami avait de plus cher en créatures humaines. Il se servait d'une poudre qui faisait crever au bout de deux jours dans d'horribles douleurs.
56. Un homme dont le goût était de molester la gorge, perfectionnait en empoisonnant des enfants sur le sein même des nourrices.
57. Il aimait à se faire rendre des lavements de lait dans la bouche, et, pour seconde, il en donnait d'empoisonnés qui faisaient mourir dans d'horribles coliques d'entrailles.
58. Un bougre, aimait à mettre le feu dans des maisons de pauvres, et s'y prenait toujours de façon à ce qu'il y eût beaucoup de monde de brûlé, et surtout des enfants.
59. Un autre bougre aimait à faire mourir des femmes en couches, en venant les voir ayant sur lui une poudre dont l'odeur les jette dans des spasmes et des convulsions dont la mort est la suite.
60. Celui dont Duclos parle dans sa vingt-huitième soirée veut voir accoucher une femme; il tue l'enfant au sortir du ventre de la mère et à ses yeux, et cela en faisant semblant de le caresser.

Le douze
.

61. Les trois amis, d'Aucourt, l'abbé et Desprès, s'amusent encore ensemble pour cette passion-ci: ils veulent une femme grosse de huit à neuf mois, ils lui ouvrent le ventre, en arrachent l'enfant, le brûlent aux yeux de la mère, lui remettent en place dans l'estomac un paquet de soufre combiné avec le mercure et le vif-argent qu'ils allument, puis ils recousent le ventre et la laissent ainsi mourir devant eux dans des douleurs inouïes, en se faisant branler par cette fille qu'ils ont avec eux.
62. Il aimait à prendre des pucelages, et perfectionne en faisant une grande quantité d'enfants à plusieurs femmes; puis, dès qu'ils ont cinq ou six ans, il les dépucelle, soit fille ou garçon, et les jette dans un four ardent sitôt qu'ils les a foutus, au moment même de sa décharge.
63. Le même homme dont Duclos a parlé le 27 novembre, dont le goût était de pendre en plaisantant, de voir pendre, etc., ce même, dis-je, cache de ses effets dans les coffres de ses domestiques et dit qu'ils l'ont volé. Il tâche de les faire pendre, et s'il réussit, il va jouir du spectacle; sinon, il les enferme dans une chambre et les fait mourir en les étranglant. Il décharge pendant l'opération.
64. Un grand amateur de merde, celui dont Duclos a parlé le 14 novembre, a chez lui un siège de commodités préparé; il engage à se mettre dessus la personne qu'il veut faire périr, et dès qu'elle y est assise, le siège s'enfonce et précipite la personne dans une fosse de merde très profonde où il la laisse mourir.
65. Un homme dont Martaine a parlé et qui s'amusait à voir tomber une fille de dessus l'échelle perfectionne ainsi sa passion. Il fait placer la fille sur un petit tréteau, en face d'une mare profonde, au-delà de laquelle est un mur qui lui offre une retraite d'autant plus assurée qu'il y a une échelle appliquée contre ce mur. Mais il faut se jeter dans la mare, et elle en est d'autant plus pressée que derrière le tréteau sur lequel elle est placée, est un feu lent qui la gagne peu à peu. Si le feu l'attrape, elle va être consumée, et, comme elle ne sait pas nager, si, pour éviter le feu, elle se jette à l'eau, elle est noyée. Gagnée par le feu, elle prend pourtant le parti de se jeter à l'eau et d'aller chercher l'échelle qu'elle voit au mur. Souvent elle se noie: alors tout est dit. Est-elle assez heureuse pour gagner l'échelle, elle y grimpe, mais un échelon, préparé vers le haut, se brise sous ses pieds quand elle l'atteint et la précipite dans un trou recouvert de terre qu'elle n'avait pas vu, et qui, fléchissant sous son poids, la jette dans un brasier ardent où elle périt. Le libertin, à portée du spectacle, se branle en l'observant.
66. Le même dont Duclos a parlé le 29 novembre, le même qui a dépucelé
la Martaine en cul à cinq ans, et le même aussi dont elle annonce qu'elle reparlera dans la passion par laquelle elle clora ses récits (celle de l'enfer), ce même, dis-je, encule une fille de seize à dix-huit ans, la plus jolie qu'on lui peut trouver. Un peu avant sa décharge, il lâche un ressort, qui fait tomber, sur le col nu et bien dégarni de la fille, une machine d'acier à dents, et qui scie peu à peu et en détail le col de la fille, pendant qu'il fait sa décharge, laquelle est toujours très longue.

Le treize.

67. Un homme qui aimait beaucoup le cul attire une fille, qu'il dit aimer, dans une partie sur l'eau; la barque est préparée, elle se fend, et la fille se noie. Quelquefois, le même s'y prend différemment: il a un balcon préparé dans une chambre fort haute, la fille s'y appuie, le balcon cède, et elle se tue.
68. Un homme, qui aimait à fouetter et à enculer après, perfectionne en attirant une fille dans une chambre préparée. Une trappe s'enfonce, elle tombe dans un caveau où est le paillard; il lui plonge un poignard dans les tétons, dans le con et dans le trou du cul, au moment de sa chute; ensuite il la jette, morte ou non, dans un autre caveau, sur l'entrée duquel une pierre se ferme, et elle tombe sur un tas d'autres cadavres qui l'on précédée, où elle expire enragée, si elle n'est pas morte. Et il a bien soin de ne donner ses coups de poignard que faiblement, afin de ne la pas tuer et qu'elle ne meure que dans le dernier caveau. Il encule, fouette et décharge toujours avant. C'est de sens froid qu'il procède à celle-ci.
69. Un bougre fait monter la fille sur un cheval indompté qui la traîne et la tue dans des précipices.
70. Celui dont Martaine a parlé le 18 janvier, et dont la première passion est de brûler avec des amorces de poudre, perfectionne en faisant mettre la fille dans un lit préparé. Dès qu'elle y est couchée, le lit s'enfonce dans un brasier ardent, mais dont elle peut sortir. Il est là, et à mesure qu'elle veut sortir, il la repousse à grands coups de broche dans le ventre.
71. Celui dont elle a parlé le 11, et qui aimait à incendier des maisons de pauvres, tâche d'en attirer chez lui, homme ou femme, sous prétexte de charité; il les encule, homme ou femme, puis leur casse les reins, et les laisse mourir de faim dans un cachot, ainsi disloqués.
72. Celui qui aimait à jeter une femme par la fenêtre sur un fumier, et dont Martaine a parlé, exécute ce qu'on va voir, pour seconde passion. Il laisse coucher la fille dans une chambre qu'elle connaît et dont elle sait que la fenêtre est fort basse; on lui donne de l'opium; dès qu'elle est bien endormie, on la transporte dans une chambre toute pareille à la sienne, mais dont la fenêtre est très haute et donne sur des pierres aiguës. Ensuite, on entre précipitamment dans sa chambre en lui faisant une très grande frayeur; on lui dit qu'on va la tuer. Elle, qui sait que sa fenêtre est basse, l'ouvre et s'y jette fort vite, mais elle tombe sur les pierres aiguës, de plus de trente pieds de haut, et elle se tue elle-même et sans qu'on la touche.


Le quatorze.

73. Un homme, dont le goût simple était de fouetter une fille, perfectionne, en enlevant tous les jours gros comme un pois de chair sur le corps de la fille; mais on ne la panse point, et elle périt ainsi à petit feu. Desgranges avertit qu'elle va parler de meurtres très douloureux, et que c'est l'extrême cruauté qui fera le principal; alors on lui recommande plus que jamais les détails.
74. Celui qui aimait à saigner ôte tous les jours une demi-once de sang jusqu'à la mort. Celui-là est fort applaudi.
75. Celui qui aimait piquer le cul avec des épingles donne chaque jour un léger coup de poignard. On arrête le sang, mais on ne panse pas, et elle meurt ainsi lentement.
75 bis. Un fustigateur scie tous les membres doucement et l'un après l'autre.
76. Le marquis de Mesanges, dont Duclos a parlé relativement à la fille du cordonnier Petignon qu'il a achetée à Duclos, et dont la première passion était de se faire fouetter quatre heures sans décharger, a pour seconde de placer une petite fille dans la main d'un colosse, qui suspend cet enfant par la tête sur un grand brasier qui ne le brûle que très doucement; il faut que les filles soient vierges.
77. Sa première passion est de brûler peu à peu les chairs du sein et des fesses avec une allumette, et sa seconde de larder sur tout le corps une fille avec des mèches soufrées qu'il allume l'une après l'autre, et il la regarde mourir ainsi. "Il n’y a point de mort plus douloureuse, dit le duc, qui avoue s'être livré à cette infamie, et en avoir vigoureusement déchargé; on dit que la femme vit six ou huit heures.

Le quinze.

78. Il aimait sucer la bouche et à avaler de la salive, et il perfectionne en faisant avaler tous les ours, pendant neuf jours, une petite dose de plomb fondu, avec un entonnoir; elle crève le neuvième.
79. Il aimait à tordre un doigt, et, pour seconde, il casse tous les membres, arrache la langue, crève les yeux, et laisse vivre ainsi, en diminuant tous les jours la nourriture.
80. Un sacrilège, le second dont a parlé Martaine le 3 janvier, attache un beau garçon, avec des cordes, sur une croix très élevée, et le laisse là manger aux corbeaux.
81. Un qui sentait les aisselles et les foutait, et dont a parlé Duclos, pend une femme par les aisselles, liée de partout, et va la piquer tous les jours en quelque partie du corps, pour que le sang attire les mouches; il la laisse ainsi mourir peu à peu.
82. Un homme, passionné pour le cul, rectifie en enterrant la fille dans un caveau où elle a de quoi vivre trois jours; il la blesse avant pour rendre sa mort plus douloureuse. Il les veut vierges, et leur baise le cul pendant huit jours avant de les livrer à ce supplice.
83. Il aimait à foutre des bouches et des culs fort jeunes: il perfectionne en arrachant le cœur d'une fille toute vivante; il y fait un trou, fout ce trou tout chaud, remet le cœur à sa place avec son foutre dedans; on recoud la plaie, et on laisse la fille finir son sort sans secours; ce qui n'est pas long dans ce cas-là.


Le seize.

84. Un fustigateur perfectionne en dégarnissant doucement les os; il en pompe la moelle et il y verse du plomb fondu en place. Ici, le duc s'écrie qu'il ne veut foutre en cul de sa vie, si ce n'est pas là le supplice qu'il destine à Augustine. Cette pauvre fille, qu'il enculait pendant ce temps-là, jette des cris et verse un torrent de larmes. Et comme, par cette scène, elle lui fait manquer sa décharge, il lui donne, en se branlant et déchargeant seul, une douzaine de soufflets qui font retentir la salle.
85. Un bourreau hache, sur une machine préparée, la fille en petits morceaux; c'est un supplice chinois.
86. Il aimait les pucelages de filles, et sa seconde est d'enfourcher une pucelle par le con avec un pieu pointu; elle est là comme à cheval, on le lui enfonce, un boulet de canon à chaque pied, et on la laisse ainsi mourir à petit feu.
87. Un fustigateur pèle la fille trois fois; il enduit la quatrième peau d'un caustique dévorant qui la fait mourir dans des douleurs horribles.
88. Un homme, dont la première passion était de couper un doigt, a, pour seconde, de saisir un morceau de chair avec des tenailles rouges; il coupe avec des ciseaux ce morceau de chair, puis il brûle la plaie. Il est quatre ou cinq jours à décharner ainsi, peu à peu, tout le corps, et elle meurt dans les douleurs de cette cruelle opération.


Le dix-sept.

89. Celui du 30 janvier, de Martaine, coupe les tétons et les fesses d'une jeune fille, les mange, et met sur les plaies des emplâtres qui brûlent les chairs avec une telle violence qu'elle en meurt. Il la force à manger aussi de sa propre chair qu'il vient de couper et qu'il a fait griller.
90. Un bougre fait bouillir une petite fille dans une marmite.
91. Un bougre la fait rôtir toute vive à la broche en venant de l'enculer.
92. Un homme, dont la première passion était de faire enculer des garçons et des filles devant lui par de très gros vits, empale par le cul, et laisse mourir ainsi, en observant les contorsions de la fille.
93. Un bougre attache une femme sur une roue, et, sans lui avoir fait aucun mal avant, la laisse mourir de sa belle mort.


Le dix-huit.

94. Il avait pour première passion de scarifier les chairs, et pour seconde, il fait écarteler à quatre jeunes arbres.
95. Un fustigateur suspend à une machine qui plonge la fille dans un grand feu et l'en retire aussitôt, et cela dure jusqu'à ce qu'elle soit ainsi toute brûlée.
96. Il aimait à lui éteindre des bougies sur les chairs. Il l'enveloppe de soufre et la fait servir de flambeau, en observant que la fumée ne puisse l'étouffer.
97. Un bougre arrache les entrailles d'un jeune garçon et d'une jeune fille, met les entrailles du jeune garçon dans le corps de la fille et celles de la fille dans le corps du garçon, puis il recoud les plaies, les lie dos à dos, ayant un pilier qui les contient, et placé entre eux deux, et il les regarde mourir ainsi.
98. Un homme, qui aimait à brûler légèrement, rectifie en faisant rôtir sur un gril, en tournant et retournant.


Le dix-neuf.

99. Un bougre: il place la femme sur un pieu à tête de diamant placée sur le croupion, ses quatre membres assujettis en l'air par des ficelles seulement; les effets de cette douleur sont de faire rire et le supplice est affreux.
100. Un homme, qui aimait à couper un peu de chair sur le cul, perfectionne en faisant scier la fille très doucement entre deux planches.
101. Un bougre avec les deux sexes fait venir le frère et la sœur. Il dit au frère qu'il va le faire mourir dans un supplice affreux dont il lui fait voir les apprêts, que cependant il lui sauvera la vie s'il veut d'abord foutre sa sœur et l'étrangler ensuite devant lui. Le jeune homme accepte, et pendant qu'il fout sa sœur, le libertin encule tantôt le garçon, tantôt la fille. Puis le frère, de peur de la mort qu'on lui présente, étrangle sa sœur, et au moment où il est après l'expédition, une trappe préparée s'ouvre, et tous deux, aux yeux du paillard, tombent dans un brasier ardent.
102. Un bougre exige qu'un père foute sa fille devant lui. Il encule ensuite la fille tenue par le père; ensuite il dit au père qu'il faut absolument que sa fille périsse, mais qu'il a le choix ou de la tuer lui-même en l'étranglant, ce qui ne la fera point souffrir, ou, s'il ne veut pas tuer sa fille, que lui alors va la tuer, mais que ce sera, et devant les yeux du père et dans des supplices épouvantables. Le père aime mieux tuer sa fille avec un cordon serré autour du col que de la voir souffrir des tourments affreux, mais quand il va s'y réparer, on le lie, on le garrotte et on écorche sa fille devant lui, que l'on roule ensuite sur des épines de fer brûlantes, puis on la jette dans un brasier, et le père est étranglé pour lui apprendre, dit le libertin, à consentir à vouloir étrangler lui-même sa fille. On le jette, après, dans le même brasier de sa fille.
103. Un grand amateur de culs et de fouet réunit la mère et la fille. Il dit à la fille qu'il va tuer sa mère, si elle ne consent pas à avoir les deux mains coupées: la petite y consent; on les coupe. Alors il sépare ces deux être-là, on lie la fille par le col à une corde, les pieds sur un tabouret; au tabouret est une autre corde dont le bout passe dans la chambre où l'on tient la mère. On dit à la mère de tirer cette corde: elle la tire sans savoir ce qu'elle fait; on la mène sur-le-champ contempler son ouvrage, et, dans le moment du désespoir, on lui abat par-derrière la tête d'un coup de sabre.


Le vingt.

104. Celui du 5 décembre, de Champville, dont le goût était de se faire prostituer le fils par la mère, pour l'enculer, rectifie en réunissant la mère et le fils. Il dit à la mère qu'il va la tuer, mais qu'il lui fera grâce si elle tue son fils. Si elle ne le tue pas, on égorge l'enfant devant elle, et si elle le tue, on la lie sur le corps de son fils, et on la laisse ainsi périr à petit feu sur le cadavre.
105. Un grand incestueux réunit les deux soeurs après les avoir enculées; il les lie sur une machine chacune un poignard à la main; la machine part, les filles se rencontrent, et elles se tuent ainsi mutuellement.
106. Un autre incestueux veut une mère et quatre enfants; il les enferme dans un endroit d'où il puisse les observer; il ne leur donne aucune nourriture, afin de voir les effets de la faim sur cette femme et lequel de ses enfants elle mangera le premier.
107. Celui du 29 décembre, de Champville, qui aimait à fouetter des femmes grosses, veut la mère et la fille toutes deux grosses; il les lie chacune sur une plaque de fer, l'une au-dessus de l'autre; un ressort part, les deux plaques se rejoignent étroitement, et avec une telle violence, que les deux femmes sont réduites en poudre, elles et leurs fruits.
108. Un homme très bougre s'amuse de la façon suivante. Il réunit l'amant et la maîtresse: "Il n'y a qu'un seul être dans le monde, dit-il à l'amant, qui s'oppose à votre bonheur; je vais le remettre entre vos mains." Il le mène dans une chambre obscure où une personne dort dans un lit. Vivement excité, le jeune homme va percer cette personne. Dès qu'il a fait, on lui fait voir que c'est sa maîtresse qu'il a tuée; de désespoir, il se tue lui-même. S'il ne le fait pas, le paillard le tue à coups de fusil, n'osant pas entrer dans la chambre où est ce jeune homme furieux et armé. Avant, il a foutu le jeune garçon et la jeune fille, dans l'espoir de les servir et de les réunir, et c'est après en avoir joui qu'il fait ce coup-là.


Le vingt et un.

109. Elle annonce que les suivants sont des bougres qui ne veulent que des meurtres masculins. Il enfonce un canon de fusil, chargé à grosse mitraille, dans le cul du garçon qu'il vient de foutre, et lui lâche le coup en déchargeant.
110. Il oblige le jeune garçon à voir mutiler sa maîtresse devant ses yeux, et il lui en fait manger la chair, et principalement les fesses, les tétons et le cœur. Il faut ou qu'il mange ces mets, ou qu'il meure de faim. Dès qu'il a mangé, si c'est là le parti qu'il prend, il lui fait plusieurs blessures sur le corps, et le laisse mourir ainsi en perdant son sang, et s'il ne mange pas, il meurt de faim.
111. Il lui arrache les couilles et les lui fait manger sans le lui dire, puis remplace ces testicules par des boules de mercure, de vif-argent et de soufre, qui lui causent des douleurs si violentes qu'il en meurt. Pendant ces douleurs, il l'encule, et les lui augmente en le brûlant partout avec des mèches de soufre, en l'égratignant et en brûlant sur les blessures.
112. Il le cloue par le trou du cul sur un pieu très étroit, et le laisse finir ainsi.
113. Il encule, et pendant qu'il sodomise, il enlève le crâne, ôte la cervelle, et la remplace par du plomb fondu.

Le vingt-deux.

114. Il rompt un jeune garçon, puis l'attache sur la roue où il le laisse expirer; il y est tourné de manière à montrer les fesses de près, et le scélérat qui le tourmente fait mettre sa table sous la roue, et va dîner là tous les jours, jusqu'à ce que le patient soit expiré.
115. Il pèle un jeune garçon, le frotte de miel, et le laisse ainsi dévorer aux mouches.
116. Il lui coupe le vit, les mamelles, et le place sur un pieu où il est cloué par un pied, se soutenant à un autre pieu où il est cloué par la main; il le laisse ainsi mourir de sa belle mort.
117. Le même homme, qui avait fait dîner Duclos avec ses chiens, fait dévorer un jeune garçon par un lion devant lui, en lui donnant une légère gaule pour se défendre, ce qui n'anime que davantage la bête contre lui. Il décharge quand tout est dévoré.
118. Il livre un jeune garçon à un cheval entier dressé à cela, qui l'encule et le tue. L'enfant est recouvert d'une peau de jument, et a le trou du cul frotté de foutre de jument.

Le vingt-trois.

119. Il place un jeune garçon dans une machine qui le tire en le disloquant, tantôt en haut, tantôt en bas; il est brisé en détail, on l'ôte et le remet ainsi plusieurs jours de suite jusqu'à la mort.
120. Il fait polluer et exténuer un jeune garçon par une jolie fille; il s'épuise, on ne le nourrit point, et il meurt dans des convulsions terribles.
121. Il lui fait dans le même jour l'opération de la pierre, du trépan, de la fistule à l'œil, de celle à l'anus. On a bien soin de les manquer toutes, puis on l'abandonne ainsi sans secours jusqu'à la mort.
122. Après avoir coupé tout ras le vit et les couilles, il forme un con au jeune homme avec une machine de fer rouge qui fait le trou et qui cautérise tout de suite; il le fout dans cette ouverture et l'étrangle de ses mains en déchargeant.
123. Il l'étrille avec une étrille de cheval; quand il l'a mis en sang de cette manière, il le frotte d'esprit-de-vin qu'il allume, puis étrille encore, et refrotte d'esprit-de-vin qu'il enflamme, et toujours ainsi jusqu'à la mort.

Le vingt-quatre.
124. Le même que le quatrième du 1er janvier de Martaine veut enculer le père au milieu de ses deux enfants, et, en déchargeant d'une main, il poignarde un de ces enfants, de l'autre il étrangle le second.
125. Un homme, dont la passion était de fouetter des femmes grosses sur le ventre, a pour seconde d'en assembler six au terme de huit mois. Il les lie toutes, dos à dos, présentant le ventre; il fend l'estomac de la première, il perce celui de la seconde à coups de couteau, donne cent coups de pied dans celui de la troisième, cent coups de bâton sur celui de la quatrième, brûle celui de la cinquième et râpe celui de la sixième, et puis il assomme à coups de massue sur le ventre celle que son supplice n'a pas encore fait mourir.
126. Le séducteur dont a parlé Duclos assemble deux femmes. Il exhorte l'une, pour sauver sa vie à renier Dieu et la religion, mais elle a été soufflée et on lui a dit de n'en rien faire, parce que si elle le faisait elle serait tuée, et qu'en ne le faisant pas elle n'avait rien à craindre. Elle résiste, il lui brûle la cervelle: "En voilà une à Dieu! Il fait venir la seconde qui, frappée de cet exemple et de ce qu'on lui a dit en dessous qu'elle n'avait d'autre façon de sauver ses jours que de renier, fait tout ce qu'on lui propose. Il lui brûle la cervelle: "En voilà une autre au diable!" Le scélérat recommence ce petit jeu-là toutes les semaines.
127. Un très grand bougre aime à donner des bals, mais c'est un plafond préparé, qui fond dès qu'il est chargé, et presque tout le monde périt. S'il demeurait toujours dans la même ville, il serait découvert, mais il change de ville très souvent; il n'est découvert que la cinquantième fois.
128. Le même de Martaine, du 27 janvier, dont le goût est de faire avorter, met trois femmes grosses dans trois postures cruelles, de manière à former trois plaisants groupes. Il les regarde accoucher en cette situation; ensuite il leur lie leurs enfants au col, jusqu'à ce que l'enfant soit mort, ou qu'elles l'aient mangé, car il les laisse dans cette posture sans les nourrir.
128 bis. Le même avait encore une autre passion: il faisait accoucher deux femmes devant lui, leur bandait les yeux, mêlait les enfants, que lui seul connaissait à une marque, puis leur ordonnait d'aller les reconnaître. Si elles ne se trompaient pas, il les laissait vivre; si elles se trompaient, il les pourfendait à coups de sabre sur le corps de l'enfant qu'elles prenaient pour le leur.

Le vingt-cinq.

129. Un grand amateur de culs encule la maîtresse aux yeux de l'amant et l'amant aux yeux de la maîtresse, puis il cloue l'amant sur le corps de la maîtresse, et les laisse ainsi mourir l'un sur l'autre et bouche à bouche.
130. Le même qui s'amusait à jeter une fille dans l'eau et à la retirer a, pour seconde, de jeter sept ou huit filles dans un étang et de les voir se débattre: il leur fait présenter une barre rouge, elles s'y prennent, mais il les repousse, et pour qu'elles périssent plus sûrement, il leur a coupé à chacune un membre en les jetant.
131. Il avait pour premier goût de faire vomir: il perfectionne en usant d'un secret au moyen duquel il répand la peste dans une province entière; il est inouï ce qu'il a déjà fait périr de monde. Il empoisonnait aussi les fontaines et les rivières.
132. Un homme qui aimait le fouet fait mettre trois femmes grosses dans une cage de fer avec chacune un enfant. 0n chauffe en dessous la cage; à mesure que la plaque s'échauffe, elles cabriolent, prennent leurs enfants dans leurs bras, et finissent par tomber et mourir ainsi.
133. Il perfectionne en enfermant une femme grosse dans un tonneau rempli de pointes, puis il fait rouler le tonneau fortement dans un jardin.


Le vingt-six.

134. Un bougre se place au bas d'une tour, dans un endroit garni de pointes de fer. On précipite vers lui, du haut de la tour, plusieurs enfants des deux sexes qu'il a enculés avant: il se plaît à les voir se transpercer et à être éclaboussé de leur sang.
135. Le même dont elle a parlé les 11 et 13 février, et dont le goût est d'incendier, a aussi pour passion d'enfermer six femmes grosses dans un endroit où elles sont liées sur des matières combustibles; il y met le feu, et si elles veulent se sauver, il les attend avec une broche de fer, les bourre et les rejette dans le feu. Cependant, à demi rôties, le plafond s'enfonce; et elles tombent dans une grande cuve d'huile bouillante préparée en dessous, où elles achèvent de périr.
136. Le même de
la Duclos qui déteste si bien les pauvres, a pour autre passion de réunir une pauvre famille sur une mine et de l'y voir sauter.
137. Un incestueux, grand amateur de sodomie, pour réunir ce crime à ceux de l'inceste, du meurtre, du viol et du sacrilège, et de l'adultère, se fait enculer par son fils avec une hostie dans le cul, viole sa fille mariée et tue sa nièce.
138. Un grand partisan de culs étrangle une mère en l'enculant; quand elle est morte, il la retourne et la fout en con. En déchargeant, il tue la fille sur le sein de la mère à coups de couteau dans le sein, puis il fout la fille en cul quoique morte; puis, très assuré qu'elles ne sont pas encore mortes et qu'elles souffriront, il jette les cadavres au feu, et décharge en les voyant brûler.

Le vingt-sept.

139. Un homme dont Martaine a parlé le 12 janvier, et qui brûlait de l'artifice dans le cul, a pour seconde passion de lier deux femmes grosses ensemble, en forme de boule, et de les faire partir dans un pierrier.
140. Un dont le goût était de scarifier oblige deux femmes grosses à se battre dans une chambre (on les observe sans risque), à se battre, dis-je, à coups de poignard. Elles sont nues; il les menace d'un fusil braqué sur elles, si elles n'y vont pas de bon cœur. Si elles se tuent, c'est ce qu'il veut; sinon, il se précipite dans la chambre où elles sont, l'épée à la main, et quand il en a tué une, il éventre l'autre et lui brûle les entrailles avec des eaux fortes, ou des morceaux de fer ardent.
141. Un homme, qui aimait à fouetter des femmes grosses sur le ventre, rectifie en attachant la fille grosse sur une roue, et dessous est fixée dans un fauteuil, sans en pouvoir bouger, la mère de cette fille, la bouche ouverte en l'air et obligée de recevoir dans sa bouche toutes les ordures qui découlent du cadavre, et l'enfant si elle en accouche.
142. Celui dont Martaine a parlé le 16 janvier, et qui aimait à piquer le cul, attache une fille sur une machine toute garnie de pointes de fer; il la fout là-dessus, de manière qu'à chaque secousse qu'il donne, il la cloue; ensuite, il la retourne et la fout en cul pour qu'elle se pique également de l'autre côté, et il lui pousse le dos pour qu'elle s'enferre les tétons. Quand il a fait, il pose dessus elle une seconde planche également garnie, puis, avec des vis, les deux planches se resserrent. Elle meurt ainsi, écrasée et piquée de partout. Ce resserrement se fait peu à peu; on
lui donne tout le temps de mourir dans les douleurs.
143. Un fustigateur pose une femme grosse sur une table; il la cloue sur cette table en enfonçant d'abord un clou brûlant dans chaque œil, un dans la bouche, un dans chaque téton; puis il lui brûle le clitoris et le bout des tétons avec une bougie, et, lentement, il lui scie les genoux à moitié, lui casse les os des jambes, et finit par lui enfoncer un clou rouge et énorme dans le nombril, qui achève son enfant et elle. Il la veut prête d'accoucher.


Le vingt-huit.

144. Un bougre fait chercher deux bonnes amies, il les lie l'une à l'autre bouche à bouche, en face d'elles est un excellent repas, mais elles ne peuvent l'atteindre, il les regarde se dévorer toutes deux quand la faim vient à les presser.
145. Un homme, qui aimait à fouetter des femmes grosses, en enferme six de cette espèce dans un rond formé par des cercles de fer: cela forme une cage dans laquelle elles sont toutes face à face en dedans. Peu à peu, les cercles se compriment et se resserrent, et elles sont, ainsi, aplaties et étouffées toutes six avec leurs fruits; mais, avant, il leur a coupé à toutes une fesse et un téton qu'il leur ajuste en palatine.
146. Un homme, qui aimait aussi à fouetter des femmes grosses, en lie deux, chacune à une perche qui, par le moyen d'une machine, les jette et les pelote l'une contre l'autre. A force de se choquer, elles se tuent ainsi mutuellement, et il décharge. Il tâche d'avoir la mère et la fille, ou les deux sœurs.
147. Le comte dont Duclos a parlé, a pour dernière passion d'accrocher trois femmes au-dessus de trois trous: l'une est pendue par la langue, et le trou qu'elle a sous elle est un puits très profond; la seconde est pendue par les tétons, et le trou qu'elle a sous elle est un brasier; la troisième a le crâne cerné et est accrochée par les cheveux, et le trou qu'elle a sous elle est garni de pointes de fer. Quand le poids du corps de ces femmes les entraîne, que les cheveux s'arrachent avec la peau du crâne, que les tétons se déchirent et que la langue se coupe, elles ne sortent d'un supplice que pour passer dans l'autre. Quand il peut, il met là trois femmes grosses, ou sinon une famille.
148. La dernière. Le grand seigneur qui se livre à la dernière passion que nous désignerons sous le nom de l'enfer. C'est un homme de quarante ans, d'une taille énorme, et membré comme un mulet; son vit a près de neuf pouces de tour sur un pied de long. Il est très riche, très grand seigneur, très dur et très cruel.
Le premier supplice est une roue sur laquelle est la fille, et qui tourne sans cesse en effleurant un cercle garni de lames de rasoir où la malheureuse s'égratigne et se coupe en tous les sens à chaque tour; mais comme elle n'est qu'effleurée, elle tourne au moins deux heures avant que de mourir.
2. La fille est couchée à deux pouces d'une plaque rouge qui fond lentement.
3. Elle est fixée par le croupion sur une pièce de fer brûlant, et chacun de ses membres contourné dans une dislocation épouvantable.
4. Les quatre membres attachés à quatre ressorts qui s'éloignent peu à peu et les tiraillent lentement, jusqu'à ce qu'enfin ils se détachent et que le tronc tombe dans un brasier.
5. Une cloche de fer rouge lui sert de bonnet sans appuyer, de manière que sa cervelle fond lentement et que sa tête grille en détail.
6. Elle est dans une cuve d'huile bouillante enchaînée.

7. Exposée droite à une machine qui lui lance six fois par minute un trait piquant dans le corps, et toujours à une place nouvelle; la machine ne s'arrête que quand elle en est couverte.
8. Les pieds dans une fournaise, et une masse de plomb sur sa tête l'abaisse peu à peu, à mesure qu'elle se brûle.
9. Son bourreau la pique à tout instant avec un fer rouge; elle est liée devant lui; il blesse ainsi peu à peu tout le corps en détail.
10. Elle est enchaînée à un pilier sous un globe de verre et vingt serpents affamés la dévorent en détail toute vive.
11. Elle est pendue par une main avec deux boulets de canon aux pieds; si elle tombe, c'est dans une fournaise.
12. Elle est empalée par la bouche, les pieds en l'air; un déluge de flammèches ardentes lui tombe à tout instant sur le corps.
13. Les nerfs retirés du corps et liés à des cordons qui les allongent; et, pendant ce temps-là, on les larde avec des pointes de fer brûlantes.
14. Tour à tour tenaillée et fouettée sur le con et le cul avec des martinets de fer à molettes d'acier rouges, et, de temps en temps, égratignée avec des ongles de fer ardents.
15. Elle est empoisonnée d'une drogue qui lui brûle et déchire les entrailles, qui lui donne des convulsions épouvantables, lui fait pousser des hurlements affreux, et ne doit la faire mourir que la dernière; ce supplice est un des plus terribles.

Par Tarentule
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés