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Fifty shades of Grey est un phénomène littéraire à tendance sado-masochisme ; cette trilogie est un succés éditorial américain. Les livres sont signés E.L. James (pseudonyme d’une cadre anglaise de la télévision). 

C'est l'histoire d'une rencontre accidentelle entre Anastasia Steele, une jeune étudiante de 21 ans, avec Christian Grey, le patron richissime, à seulement 27 ans, d’un empire des télécoms. Anastasia tombe immédiatement sous le charme des yeux gris et du corps de rêve de Grey. Une relation débute peu à peu entre eux, qui change toutefois de nature lorsque Grey annonce à la jeune étudiante, encore vierge, son plus lourd secret. Le beau chef d’entreprise avoue « ne jamais faire l’amour », mais « baiser durement » : Grey est un dominateur, et exige d’Anastasia qu’elle entre dans ses jeux sado-masochistes extrêmes. A son domicile, il possède une “chambre rouge de la douleur” équipée en chaînes, combinaisons de cuir et crochets. Pour plaire à son nouvel amant, Anastasia va plonger dans son jeu…

Pour information : c'est la diffusion électronique du livre (e-book) qui est à l’origine du succès du livre. Aux Etats-Unis de nombreuses mères de familles ont pu lire ce livre en toute discrétion, sans risquer que leur lecture soit découverte dans les espaces publics. Au point de donner à la trilogie son surnom, “Mommy porn” (Le porno de Maman), et d’entraîner la création de nombreux sites d’édition numérique entièrement dédiées à la littérature érotique.

La trilogie Fifty shades ne manque pas de critiques  à cause de son manque évident de qualités littéraires, et de plusieurs phrases et répliques proches du ridicule (il est en effet probable que E.L. James, qui a produit en quelques mois trois volumes de plus de 500 pages chacun, n’a pas accordé beaucoup d’importance à son style). A date aucun éditeur français n’a annoncé la publication de cette trilogie.

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  Début du chapitre sept de Fifty shades of Grey.
Anastasia Steele découvre pour la première fois la “chambre des douleurs” de Christian Grey.

The first thing I notice is the smell; leather, wood, polish with a faint citrus scent. It’s very pleasant, and the lighting is soft, subtle. In fact, I can’t see the source, but it’s around the cornice in the room, emitting an ambient glow. The walls and ceiling are a deep, dark bur-gundy, giving a womb-like effect to the spacious room, and the floor is old, old varnished wood. There is a large wooden cross like an X fastened to the wall facing the door. It’s made of high-polished mahogany, and there are restraining cuffs on each corner. Above it is an expansive iron grid suspended from the ceiling, eight-foot square at least, and from it hang all manner of ropes, chains, and glinting shackles. By the door, two long, polished, ornately carved poles, like spindles from a banister but longer, hang like curtain rods across the wall. From them swing a startling assortment of paddles, whips, riding crops, and funny-looking feathery implements.

Beside the door stands a substantial mahogany chest of drawers, each drawer slim as if designed to contain specimens in a crusty old museum. I wonder briefly what the drawers actually do hold. Do I want to know? In the far corner is an oxblood leather padded bench, and fixed to the wall beside it is a wooden, polished rack that looks like a pool or billiard cue holder, but on closer inspection, it holds canes of varying lengths and widths. There’s a stout six-foot-long table in the opposite corner – polished wood with intricately carved legs – and two matching stools underneath.

But what dominates the room is a bed. It’s bigger than king-size, an ornately carved rococo four-poster with a flat top. It looks late nineteenth century. Under the canopy, I can see more gleaming chains and cuffs. There is no bedding… just a mattress covered in red leather and red satin cushions piled at one end.

At the foot of the bed, set apart a few feet, is a large oxblood chesterfield couch, just stuck in the middle of the room facing the bed. An odd arrangement… to have a couch facing the bed, and I smile to myself – I’ve picked on the couch as odd, when really it’s the most mundane piece of furniture in the room. I glance up and stare at the ceiling. There are karabiners all over the ceiling at odd intervals. I vaguely wonder what they’re for. Weirdly, all the wood, dark walls, moody lighting, and oxblood leather makes the room kind of soft and romantic… I know it’s anything but, this is Christian’s version of soft and romantic.

I turn, and he’s regarding me intently as I knew he would be, his expression completely unreadable. I walk further into the room, and he follows me. The feathery thing has me intrigued. I touch it hesitantly. It’s suede, like a small cat-of-nine-tails but bushier, and there are very small plastic beads on the end.

“It’s called a flogger,” Christian’s voice is quiet and soft.

© The Writer’s Coffee Shop, 2011

Par Tarentule
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Commentaires

Comme souvent dans ces cas là, priorité est donnée à l'apparence (donjon, tenues, ...) sans réellement prendre en compte la dynamique psychologique qui fait pourtant l'essence d'une relation D/s.
Votre commentaire et l'extrait laissent à penser que c'est aussi le cas ici.
commentaire n° :1 posté par : ze_dreamer le: 27/04/2012 à 14h11

Ce n'est qu'un extrait ...

Les jeux en BDSM sont comme une pièce de théâtre : une scène, des protagonistes, des costumes, des accessoires, un texte, une histoire et parfois un publique.

Tout dépend comment tu positionnes la "dynamique psychologique". Chaque personne pratique le BDSM de manière différente, certains ont besoin d'assouvir un fantasme et feront le strict minimum pour obtenir ce qu'ils veulent ; et d'autres ont besoin de s'investir psychologiquement et physiquement pour s'épanouiir.

Ta remarque est judicieuse : "Comme souvent dans ces cas là, priorité est donnée à l'apparence (donjon, tenues, ...)" malheureusement, on est tous attiré d'une manière ou d'une autre par notre  propre vision du beau, de l'esthétique, ... (ce n'est pas la beauté intérieure qui frappe d'abord )

Je pense que pour avoir une réelle dynamique psychologique en D/s : cela doit se faire sur du long terme.

Ah !!! Les relations humaines !!

 

réponse de : Tarentule le: 12/05/2012 à 21h19

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