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La sexualité est un besoin essentiel de tout être humain. Toutefois, elle peut devenir déviante chez certains individus.

- Idées obsédantes et masturbation compulsive à l'aide de fantasmes, de films, de revue, de lignes téléphoniques ou de sites Internet pornographiques, ou parfois même en utilisant certains objets non sexuels, comme des sous-vêtements
- Recours fréquent aux services de prostitués (hommes, femmes ou travestis)
- Relations sexuelles anonymes avec de multiples partenaires
- Aventures en série, même si la personne est déjà engagée dans une relation stable
- Fréquentation assidue de bar de danseuses nues, de studios de massages érotiques ou de librairies pour adultes
- Exhibitionnisme
- Voyeurisme
- Frotteurisme, c'est-à-dire toucher la poitrine ou les organes génitaux d'une autre personne de manière à ce que la chose paraisse accidentelle, dans une foule par exemple
- Sadomasochisme
- Pédophilie
- Inceste
- Viol

Cependant l'utilisation de jouets sexuels, le visionnement de films érotiques, voire l'échangisme et le sadomasochisme puissent parfois faire partie d'une sexualité dite «normale», on parle de dépendance lorsque ces comportements sont dictés par des besoins irrépressibles, qu'ils sont répétitifs et qu'ils interfèrent avec les activités quotidiennes et les relations interpersonnelles de la personne qui en souffre. Contrairement aux hommes et aux femmes qui trouvent dans leurs multiples conquêtes un certain épanouissement, les personnes qui ont une dépendance sexuelle multiplient les relations sexuelles ou s'engagent dans une sexualité de plus en plus marginale.

Si on fait référence à l'hypersexualité, terme apparu dans les années 1920 puis réactualisé dans les années 1980, ce terme de sexologie désigne un état qui recouvre trois situations : le rêve d'exploits sexuels (ne pas confondre avec les fantasmes que l'on a dans un état conscient), un certain niveau d'obsession sexuelle et un excès de désir sexuel (pulsion répétitive). Pouvant aussi bien toucher les hommes que les femmes, cet état peut caractériser une personne qui ressent toujours plus fort le besoin de satisfaire ses pulsions sexuelles.

Cet état névrotique peut conduire à des violences sur soi et/ou les autres. A son origine, on trouve parfois un excès de testostérone, un état neurologique fragile ou une problématique psychologique particulière. A noter que le désir sexuel est faible chez une personne obsédée sexuellement : le moteur de ses comportements compulsifs et incontrôlables est l'angoisse.

 L'angoisse profonde quant à sa virilité , c'est-à-dire une part de son identité. Il en résulte une activité frénétique qu'il ne souhaite pas vraiment, l'humilie et souvent le dévalorise à leurs propres yeux. Par exemple, certains hommes se masturbent jusqu'à l'éjaculation 10 fois par jour et d'avantage. Ou bien ils obligent leur partenaire à avoir plusieurs rapports sexuels par jour. L'objectif sous-adjacent d'un tel comportement est de réduire une angoisse insupportable.

Le soulagement obtenu par une masturbation ou un rapport sexuel est transitoire. L'angoisse réapparaît dès lors que l'activité compulsive est réprimée. C'est l'explication de comportements impulsifs soudains, incontrôlables, avec des partenaires de rechange ce qui peut conduire la personne, dans certaines circonstances, à la délinquance.

Le donjuanisme est représentatif de ce comportement . L'homme, "chaud-lapin", a un besoin compulsif de séduire. La conquête sexuelle dans laquelle la partenaire est réduite à l'état d'objet (vaginal), équivaut à un brevet de virilité, jamais acquis définitivement; car la conquête pour la conquête ne rassure que très provisoirement. Dès que l'angoisse réapparaît, la personne repart pour de nouvelles conquêtes, sans fin...

Casanova est le modèle historique de cette quête incessante de la séduction. D'un point de vue analytique, cette recherche compulsive et angoissée de la virilité traduit l'immaturité de développement: le sujet est resté au stade phallique (pré-pubertaire) de son organisation psychologique, avec une peur viscérale de la castration ou de son équivalent : ne pas être viril. Une psychothérapie bien conduite, quand la personne en ressent le besoin, peut l'aider à dépasser ce stade et à calmer sa profonde angoisse.

Le satyriasis est la forme extrême de l'hypersexualité. L'homme, quasiment en rut (comparé au satyre de la mythologie) poursuit femme, fille ou garçon, avec lesquels il espère satisfaire son besoin sexuel coûte que coûte. C'est dans ce contexte là que la délinquance apparaît : la résistance du "partenaire choisi" provoque agression, coups, viol. La personne restera récidiviste aussi longtemps que sa pulsion sexuelle n'aura pas été réduite.

C'est pourquoi une cause de cette pulsion excessive doit nécessairement être recherchée avec l'objectif de pouvoir traiter la personne et de prévenir la récidive. L'hypertestostéronémie (excès d'hormone mâle) est parfois retrouvée. On sait que la suppression de la sécrétion de testostérone par un traitement approprié entraîne habituellement une disparition du désir sexuel: la personne retrouve une certaine quiétude; mais l'excès de désir réapparaît dès que l'on arrête le traitement.

Chez l'animal, la testostérone est l'hormone de l'agressivité: la castration calme agressivité et comportement sexuel. De même, l'homme a besoin d'un minimum de testostérone pour activer le désir sexuel. Ainsi, chez le garçon, la puberté précoce peut déclencher un véritable état de rut, sans but : le garçon se précipite sur les femmes sans savoir pour quoi faire. Ce comportement disparaît avec le traitement de la puberté précoce.

Néanmoins, le mécanisme précis avec lequel l'hypertestostéronémie agirait chez l'adulte pour provoquer cet excès de désir sexuel et ce comportement compulsif, reste plutôt flou, puisque certains hommes ont un taux de testostérone supérieur à la normale, sans être incommodés pour autant par une pulsion sexuelle excessive.



Nos relations sexuelles nous amènent à avoir des des goûts et des attirances différents comme l'hétérosexualité, l'homosexualité, la bisexualité.

Comment donner du plaisir et surtout mieux exciter les parties érogènes de la femme.

Le corps de la femme présente une érogénéité plus diffuse que celui de l'homme. Freud nous a appris que les zones les plus sensibles sont situées au niveau ou au voisinage des orifices naturels.

N'oubliez donc pas la première zone érogène : les lèvres. D'autres zones du visage sont très réceptives, comme la périphérie des yeux ou du nez. Les seins et les mamelons sont d'une extrême sensibilité. Ils peuvent être caressés, mordillés, léchés ou sucés. L'érection du mamelon par stimulation tactile ou buccale procure souvent beaucoup de plaisir et peut même conduire certaines femmes à l'orgasme. Les fesses possèdent de nombreuses terminaisons nerveuses. On peut les caresser, les embrasser, les tapoter, les flageller...

Beaucoup de femmes aiment qu'on leur lèche ou qu'on leur embrasse le lobe et le creux de l'oreille. La nuque, les aisselles, les bras et les poignets apprécient les baisers. L'homme peut aussi chatouiller le ventre et le nombril de sa partenaire, ses hanches, la face interne de ses cuisses, le creux de ses genoux, ses pieds et ses orteils.

La position "en levrette" (pénétration par l'arrière) permet une bonne stimulation des zones érogènes de la femme. Cependant, le clitoris est la plus sensible de toutes les zones érogènes ; sa seule fonction est de procurer du plaisir. Il peut être stimulé avec la langue, les doigts, le pénis, un vibromasseur, ou par les frottements du corps. Certaines femmes aiment être stimulées à la base du clitoris, d'autres à l'extrémité ou sur les côtés. Le gland clitoridien, richement innervé par les corpuscules de Crans, est hypersensible. Il se rétracte et disparaît sous le capuchon quand la femme est très excitée. Les bords droit et gauche de la hampe sont très réceptifs à la stimulation tactile. La stimulation directe, ou des pressions trop appuyées, peuvent être désagréables, voire douloureuses pour certaines femmes.

Pendant le rapport sexuel, la position latérale des deux partenaires (de face ou de dos) permet à la femme de guider la main de son partenaire dans cette exploration coquine pour lui montrer les caresses et le rythme qu'elle préfère. Les petites et les grandes lèvres sont aussi très réceptives, tout comme l'orifice et le conduit vaginal (surtout le premier tiers inférieur). Le périnée , situé entre le vagin et l'anus, est très sensible chez certaines femmes. La friction rythmée du canal de l'urètre peut aussi être très efficace. Le vestibule , situé entre les petites lèvres, l'orifice vaginal et le clitoris, est très innervé et vascularisé. Cette zone peut être caressée avec le doigt, la langue ou le pénis.

Comment provoquer un orgasme féminin ?

L'orgasme est la manifestation physique de l'extase qui emporte, de plaisir absolu, du corps et de la tête à la fois. Cet orgasme "total" demande un concours de circonstances très favorables (différentes pour chaque femme). Il se produit donc assez rarement. Quand la communion entre les partenaires est proche de la perfection ou quand la femme est en parfaite harmonie avec elle-même, cet orgasme complet est un moment magique que certains l'appellent "la petite mort".

Ce nom est donné parce que la femme a atteint un tel degré d'excitation et de plaisir qu'elle a le sentiment d'arriver à un point de non-retour et peut avoir l'impression qu'elle va mourir. Elle est proche, en tous cas, de la perte de conscience. Cet orgasme est si intense qu'une femme n'en aura généralement qu'un et devra prendre le temps de "récupérer" si elle souhaite qu'un autre se produise.

A un degré moindre, d'autres types d'orgasmes sont possibles qui sont aussi très satisfaisants et qui, eux, peuvent se suivre assez rapidement. Le corps est alors saisi d'une réaction due à un plaisir sexuel très fort. Ce plaisir peut venir du corps seulement ou de la tête seulement ou des deux à la fois. Cette réaction se propage dans l'ensemble du corps mais se ressent en particulier dans le ventre et dans le sexe. C'est plus ou moins visible en fonction de chaque femme et une même femme peut être, une fois très démonstrative et une autre fois quasi-immobile et muette. Ces orgasmes sont presque faciles à obtenir pourvu que la femme, toute seule ou accompagnée, s'en donne les moyens.

Avoir un orgasme demande, entre autres, une bonne connaissance de soi, la connaissance d'une ou plusieurs techniques, un entraînement et de la persévérance (on n'a rien sans rien !). Par contre, aucune technique lue, vue ou entendue, ne peut, à elle seule, provoquer un orgasme chez une femme si on se contente de l'appliquer bêtement ! Dans tous les cas, il faut personnaliser ses connaissances et les adapter à sa ou à la personne, aux moments de la journée, à un état général, à des états particuliers, à des envies, etc... Et être attentif à ce que "dit" le corps. Le corps de chaque femme a son langage... Il parle en frissons, en palpitations, en contractions, en torsions, etc...

En conclusion, apprendre à l'entendre, à l'écouter et à le comprendre est une des clés du plaisir.



L'orgasme, ça compte, évidemment. Mais il n'est pas forcément le moment où le plaisir ressenti est le plus intense ! Toute la montée du désir, les sensations de volupté qui se développent avant, ont aussi énormément d'intérêt... parfois même plus !

Chez l'homme, l'orgasme est le point culminant du plaisir sexuel. Mais il en est aussi le point final ! Or, il a naturellement tendance à s'y précipiter beaucoup trop vite ! Pour que sa jouissance soit plus profonde, plus puissante, plus intense, plus variée, il doit apprendre à prolonger la montée de son plaisir, et retarder la survenue de l'orgasme.

Tout homme peut apprendre à faire durer ces moments de volupté qui précèdent l'orgasme. Non seulement son plaisir s'approfondit, mais il donne aussi à sa partenaire plus de chances d'atteindre l'orgasme. Car le plaisir féminin est plus long à venir. Plus complexe, plus varié, il nécessite un apprentissage, de la part de la femme qui le ressent et de l'homme qui le donne.

Qu'il provienne d'une stimulation clitoridienne ou vaginale (ou les deux !), il dépend toujours de la connaissance du corps féminin et de ses zones sensibles. Cette connaissance, peu de femmes l'ont, et leur partenaire, encore moins ! On nous fait croire que, pour qu'un rapport sexuel soit réussi, une femme DOIT avoir un orgasme. L'orgasme serait une sorte de garantie ! Beaucoup d'hommes cherchent ainsi, à tout prix, à déclencher celui de leur compagne, et beaucoup de femmes en font une exigence...

C'est dommage, car c'est se fixer une performance : le résultat risque d'être décevant ! Une femme peut ressentir une intense volupté, un énorme plaisir, même si son orgasme ne se déclenche pas. L'orgasme peut, bien sûr, venir aussi et apporter beaucoup de plaisir... Ce qui est néfaste, c'est la recherche de l'orgasme à tout prix. C'est même le meilleur moyen de faire fuir cette jouissance.

Pour connaître l'orgasme, une femme a besoin de découvrir, d'apprendre dans son corps, les chemins qui la mènent au plaisir. L'expérience et le temps sont indispensables. L'homme, lui, doit apprendre à prendre le temps et à ne pas faire de l'orgasme le seul critère de la jouissance.

L'orgasme féminin en quoi consiste t'il ?

C'est un réflexe à la suite d'une stimulation (stimulation génitale ou extra-génitale, sensations érotiques intenses), le cerveau envoie un message qui traverse la colonne vertébrale et provoque une série de contractions rythmiques de la région interne du premier tiers du vagin, de l'utérus et de la région anale.

Trois groupes musculaires entrent donc en jeu : le releveur de l'anus; les muscles bulbo-caverneux; le sphincter strié de l'urètre et le constricteur de la vulve. L'orgasme se produit au terme de la phase de plateau : quand l'excitation s'intensifie et que la tension sexuelle et musculaire augmente. Le premier tiers du vagin se gonfle et resserre l'ouverture, les deux tiers du fond du vagin s'arrondissent. Le clitoris se presse contre l'os du pubis, et les petites lèvres deviennent plus foncées et plus épaisses.

L'orgasme lui-même ne dure souvent que quelques secondes : il peut y avoir de 2 à 3 contractions musculaires, distantes l'une de l'autre de moins d'une seconde.

Si toutes les femmes passent par les mêmes phases, en revanche l'intensité de l'orgasme varie considérablement d'une femme à l'autre... et même d'une fois à l'autre chez la même femme. Chez certaines, des sensations agréables peuvent être ressenties dans le clitoris, et peuvent s'étendre à tout le pelvis. Les contractions musculaires peuvent aller d'une simple palpitation de la zone génitale à une secousse du corps entier.

Les facteurs jouant sur l'intensité de l'orgasme sont d'ordre physiologique (fatigue, stress) et/ou psychologique (humeur du moment, sentiments éprouvés pour le partenaire). Pour certaines, c'est le sexe oral (fellation ou cunnilingus) qui permet de parvenir aux orgasmes les plus agréables et les plus puissants.

Il peut y avoir 3 ou 4 spasmes, parfois suivis par de petites contractions plus espacées... surtout si le partenaire continue à lécher doucement. Pour d'autres, les orgasmes les plus puissants sont obtenus par la masturbation... mais ils peuvent aussi être très intenses pendant le rapport sexuel, alors ne stoppez pas la stimulation du clitoris, même pendant l'orgasme.

Pendant l'orgasme, des changements peuvent apparaître dans les expressions du visage. La femme peut aussi proférer des sons involontaires : gloussements, rires, grognements, cris... si elle ne fait pas de bruit, elle ne pourra sûrement pas s'empêcher de haleter, de pousser de petits soupirs. Elle peut aussi avoir les jambes qui tremblent, devenir plus faible, ou sembler brièvement déconnectée : elle n'a pas perdu conscience, mais se concentre sur ces sensations agréables, liées à un sentiment d'abandon. Parfois, c'est tout le corps qui se contracte à chaque spasme.

Juste après l'orgasme, une rougeur peut apparaître sur la poitrine et sur les épaules... pendant un bref instant. Mais le signe le plus révélateur est certainement le degré de sensibilité des organes génitaux. Il faut savoir que c'est à 40 ans que les femmes sont le plus épanouies. Elles sont plus susceptibles d'atteindre facilement l'orgasme grâce à une meilleure expérience sexuelle et une bonne connaissance de leur propre corps.


Clitoridien ou vaginal ?

Le clitoris et le vagin sont deux zones de stimulation capables de provoquer le plaisir orgasmique. L'orgasme clitoridien est plus aigu. Grâce à la masturbation, la femme peut y parvenir en quelques minutes. La stimulation du clitoris tend à produire des orgasmes plus intenses. La sensation éprouvée est très puissante. Cet orgasme met en jeu les muscles pelviens et abdominaux.

L'orgasme vaginal : c'est, selon Freud, l'orgasme "adulte et supérieur", (contrairement à l'orgasme clitoridien, "infantile et inférieur"). Comme les parois internes du vagin ont des terminaisons nerveuses, un tiers des femmes affirment qu'elles peuvent avoir un orgasme de cette façon. La stimulation du point G pourrait conduire à un orgasme profond. Des sensations de vagues de chaleur inondent tout le corps.

Chez certaines femmes, c'est l'éjaculation qui provoque l'orgasme : les contractions du vagin sont provoquées par la prostaglandine, une substance contenue dans le sperme.

Avant de poursuivre une petite aparté concernant le point G, qui n'est pas un mythe !

Le point G est découvert en 1950 par Ernest Gräfenberg, c'est un organe sexuel et une zone érogène située sur la face antérieure du vagin entre 1 et 4 cm de profondeur, peut provoquer chez certaines femmes , lorsqu'il est stimulé, un orgasme encore plus puissant que celui provoqué par le clitoris.

Le point G encore appelé prostate de la femme, est une petite zone de tissu érectile situé sur la face antérieure du vagin, à environ 3 ou 5 cm de l'entrée de la vulve, entre l'os du pubis et le col de l'utérus. Il prend la forme d'une petite boule de moins d'un centimètre au repos. Il est méconnu de la plupart des hommes ! Le point G peut être stimulé lorsque la femme pose ses jambes sur les épaules de son partenaire.

Pour les femmes qui veulent trouver par elle-même leur point G (Applicable également par les hommes). Il suffit d'introduire un doigt à l'intérieur du vagin, en le dirigeant vers le nombril, puis en le pliant. Un léger renflement peut apparaître et provoquer une sensation de plaisir. Le secteur spongieux autour du point G se gorge de sang et devient hyper sensible. Il est ainsi beaucoup plus facile de trouver le point G lorsque vous êtes bien préparée.

Insérez lentement un doigt à l'intérieur de votre vagin (lubrifiez si vous vous sentez peu un sèche). Vous devriez sentir un secteur légèrement inégal ou strié sur la paroi supérieure de votre vagin.La texture du point G est sensiblement différente des parois lisses typiques du vagin. Cette différence augmente avec la qualité de l'éveil sexuel. Le point G est sensible à la pression, c'est pourquoi vous devez allez et venir avec vos doigts tout en maintenant la pression sur la paroi.

Certaines femmes préfèrent utiliser un vibromasseur. Appliquez un peu de lubrifiant à votre jouet, et l'insérer (s'il est courbé) en dirigeant l'extrémité vers le haut (paroi supérieure de votre vagin). Comme avec les doigts, les mouvements doivent être lents, et il faut maintenir une certaine pression Vous pouvez ressentir une envie de faire pipi en même temps que vous stimulez le point G. Stimulez à ce moment-là votre clitoris en utilisant votre méthode préférée, sans délaisser le point G bien sûr.

Cette sensation peut vous déconcerter, mais abandonner maintenant serait vraiment dommage, vous n'êtes pas loin de l'orgasme. Ne vous forcez pas à y arriver ... Vous pouvez ou pas éjaculer, mais l'éjaculation est parfaitement normale (ce n'est pas de l'urine). Là encore, l'éjaculation féminine est un sujet tabou, ce qui n'aide pas la découverte !

Plusieurs essais seront peut être nécessaires avant d'y arriver. Essayez de changer votre position, essayez un jouet différent ou changez de partenaire ! L'expérimentation avec le point G doit rester un amusement, un jeu dans lequel vous apprendrez des choses sur vous que vous ignorez. Pour information : Encore moins connu que chez la femme, le point G est situé chez l'homme, à l'intérieur du rectum, près de l'urètre et de la prostate.

Clitoridien ET vaginal !

 Il semble qu'il n'y ait pas d'orgasme en fait strictement clitoridien. Mais la stimulation vaginale à elle seule ne suffit pas non plus, pour la plupart des femmes, à produire un orgasme. Une femme n'est pas clitoridienne ou vaginale, mais les deux à la fois.

Selon Masters et Johnson, (couple de sexologues américains célèbres pour leurs recherches en laboratoire sur la sexualité humaine et pour les méthodes de thérapie sexuelle qu'ils mirent au point), il n'y a en fait qu'un type d'orgasme, provoqué par la stimulation du clitoris et se traduisant par des contractions du vagin. Pour d'autres, il faudrait un orgasme clitoridien préalable pour parvenir à un orgasme vaginal.

C'est en fait la stimulation prolongée du clitoris qui finit par provoquer des contractions de la plate-forme vaginale. Ce réflexe clitoris vaginal provoque un orgasme superficiel. L'orgasme dit profond se traduit par des contractions utérines régulières, et procure un sentiment de détente. Les deux types d'orgasmes peuvent se produire de façon simultanée ou successivement.


Les orgasmes multiples .Si la stimulation et l'intérêt sexuel se prolongent par l'orgasme, certaines femmes (une sur dix) peuvent avoir une série d'orgasmes les uns à la suite des autres. Comme les femmes mettent plus de temps à atteindre l'orgasme, elles restent plus longtemps dans la phase de plateau, et peuvent replonger dedans. Contrairement à l'homme, elles ne connaissent pas de période réfractaire et peuvent donc prolonger le plaisir beaucoup plus longtemps. Elles peuvent ainsi avoir 5, 10, voire 20 orgasmes au cours d'un même rapport sexuel.

Mais les orgasmes multiples ne sont pas pour autant liés à la satisfaction sexuelle. En avoir ne devrait pas être un but en soi : en fait, beaucoup de femmes trouvent même que la stimulation des parties génitales après l'orgasme n'est pas agréable, voire douloureuse. Les idées reçues sur l'orgasme Ce n'est pas la durée de la pénétration qui permet à la femme de parvenir à l'orgasme. D'ailleurs, la pénétration n'est pas la seule forme de sexualité... et elle est souvent insuffisante pour provoquer l'orgasme à elle seule.

Trois femmes sur quatre ont besoin d'un stimulation directe de leur clitoris, par des caresses buccales, ou par la masturbation, pour avoir un orgasme. Certaines femmes doivent avoir une stimulation des seins : cela augmente la production de l'hormone ocytocine, qui elle-même provoque la contraction des muscles de l'utérus. La satisfaction sexuelle d'une femme ne dépend pas du nombre de ses orgasmes.

Les orgasmes multiples, et les orgasmes simultanés ne devraient pas être le but à atteindre. Le contrôle et la volonté d'être synchro empêchent au contraire de vous abandonner au plaisir. Les femmes peuvent avoir un orgasme sans éprouver de plaisir. L'intensité de l'orgasme n'est évidemment pas proportionnelle à celle des gémissements et des gesticulations qui l'accompagnent.

Il faut savoir que l'orgasme aurait une fonction plus utilitaire que le simple plaisir. Une femme éprouverait le désir d'avoir un orgasme à chaque fois que son corps juge que cela peut optimiser ses chances de fécondation. Schopenhauer aurait parlé de ruse de l'espèce. La sexualité ne viserait qu'à transmettre notre capital génétique. D'ailleurs, les femmes qui ont un orgasme expulsent moins de spermatozoïdes dans la demi-heure qui suit l'insémination. Les spermatozoïdes sont ainsi plus nombreux à passer du vagin au canal cervical et à l'utérus.

Suggestions pour faciliter l'orgasme féminin

Si vous mettez plus de temps que lui pour parvenir à l'orgasme, encouragez-le à passer du temps sur les préliminaires et faites en sorte que le rapport sexuel dure plus longtemps.

Comment retarder son éjaculation ?

Stimulez-le et amenez-le à une excitation maximale, puis ralentissez le mouvement. Répétez cette tactique 7 ou 8 fois, avant de le laisser enfin éjaculer. Alternez le sexe oral et le rapport sexuel. S'il est vraiment très proche de l'orgasme, demandez-lui de vous faire un cunnilingus, ou faites lui une fellation. Touchez le plus souvent possible son pénis : avec votre main, votre langue, ou votre vagin. Il sera moins sensible et ça durera ainsi plus longtemps.

Vous pouvez aussi retarder son éjaculation en pressant la base de son pénis fermement pendant quelques secondes. Guidez votre partenaire en lui parlant : faites lui savoir ce qui vous fait de l'effet, ce qu'il pourrait encore améliorer. Essayez aussi de vous masturbez alors qu'il vous pénètre, ou demandez-lui de le faire.

Si votre lubrification vaginale n'est pas suffisante, cela ne signifie pas nécessairement que vous n'êtes pas assez excitée. Fatigue, stress ou phase du cycle menstruel peuvent aussi expliquer ce phénomène: n'hésitez pas à utiliser un gel lubrifiant. Masturbez-vous plus souvent, cela augmente l'appétit sexuel. Faites vos exercices de Kegel quotidiennement, cela vous permettra de resserrer votre vagin et d'augmenter votre capacité orgasmique.

Ces exercices sont connus pour être essentiellement utilisés par les femmes, ils peuvent l'être aussi par les hommes. Ils permettent de renforcer le plancher pelvien, ce qui permet d'avoir des orgasmes non éjaculatoires et, dans certains cas, des orgasmes multiples.

Chez l'homme, ces exercices soulèvent les testicules, renforçant également le muscle cremaster ainsi que le canal anal dans la mesure où la région de l'anus est également contractée durant les exercices. En fait, les hommes doivent contracter uniquement leur sphincter anal et non leur sphincter urinaire pour pratiquer les exercices de Kegel. Cela est dû au fait que le muscle pubococcygien s'étend du tour de l'anus jusqu'au sphincter urinaire. Un homme qui pratique ces exercices doit être patient, cela peut prendre 4 à 6 semaines avant de noter une différence substantielle.

Une femme peut augmenter la difficulté de l'exercice en serrant un objet dur ou en compressant un morceau de mousse dans son vagin, mais il n'existe pas d'équivalent masculin. Quelques uns croient qu'en accrochant une serviette sur leur membre et en essayant de redresser leur pénis ils arrivent au même résultat, mais cela ne permet "que" d'améliorer l'érection et sa résistance.

L'amélioration de l'érection pourrait s'expliquer par le fait qu'en musclant cette région du corps, on améliore aussi l'afflux sanguin autour du pénis (utile pour l'érection). Aucune étude scientifique sérieuse n'a cependant été pratiquée sur la musculation du pénis avec cette méthode (sachant que le pénis n'est pas un muscle !!!).

Le pénis est l'organe génital. Il est principalement constitué de deux corps caverneux et d'un corps spongieux. Lorsque l'homme est excité sexuellement, ces organes se gonflent de sang : c'est l'érection. La taille du pénis au repos est différente de la taille en érection, et il n'y pas de correspondance entre les deux.

Un petit pénis au repos s'allonge souvent plus en érection, par contre un pénis déjà long au repos s'allongera peu ou pas en érection. Le pénis doit être mesurée de la base du pénis contre l'os pubien à son extrémité. S'il y a un sur-poids, la verge ne peut se montrer dans toute sa longueur ; une perte de poids permettra de la " voir s'agrandir " par la perte du tissus adipeux situé à la racine de la verge.

Voici les moyennes dans la population générale adulte :
Au repos : Longueur : 7,5 à 11,5 cm, Circonférence : 7,5 à 10,5 cm
En érection : Longueur : 10 à 20 cm, Circonférence : 8,5 à 12 cm

Les exercices de Kegel recommandent la position d'Andromaque (vous êtes assise sur l'homme qui est couché sur le dos) est celle où vous avez le plus de chance de connaître le plaisir clitoridien : insérez son pénis dans votre vagin et stimulez votre clitoris en même temps.

La position en levrette est également très efficace pour atteindre l'orgasme : demandez lui de vous stimuler le clitoris d'une main tandis qu'il vous pénètre profondément.

Astuces pour l'homme


Accordez du temps aux préliminaires : elle sera plus excitée, ce qui augmentera ses chances de parvenir à l'orgasme. Vous pouvez aussi l'amener à l'orgasme en la masturbant ou en lui faisant un cunnilingus avant la pénétration. Pendant le rapport sexuel, ne changez pas de technique ou de rythme au mauvais moment : si elle est au bord de l'orgasme, cela risque de réduire vos efforts à néant. Stimulez son clitoris, de préférence indirectement : le gland est souvent trop sensible pour supporter une stimulation directe. Occupez-vous plutôt de la hampe ou du pourtour du clitoris.

Petits rappels ...

La verge est composée de trois parties érectiles que l'on peut sentir sous ses doigts : deux tubes longs et caverneux, juxtaposés comme les deux canons d'un fusil et séparés au milieu, sur toute la longueur par l'urètre. une partie spongieuse entourant l'urètre et se terminant par le gland. le tout est entouré d'une peau fine et forme ainsi la verge.

Des formes, des couleurs et des courbures différentes sont naturelles mais une courbure exagérée doit inciter à consulter un médecin.

Le gland a aussi des formes très différentes d'un individu à l'autre. Il est très sensible et doit être décalotté lors de la toilette pour permettre une hygiène correcte. Au bout du gland, se trouve une petite fente, appelée méat. La peau qui recouvre le gland du sexe s'appelle le prépuce.

La circoncision est l'opération qui consiste à enlever le prépuce. Sauf pour des raisons religieuses ou médicales, la circoncision ne présente pas d'utilité.

Le frein est le petit filet qui se trouve sous le gland et qui retient le prépuce. Il est sensible et fragile.

Les bourses (ou le scrotum) est la poche qui contient les deux testicules. Il est naturel que le testicule gauche soit plus bas que le droit. Il est aussi normal que les bourses changent d'aspect en fonction des circonstances.

Le périnée est l'espace entre l'anus et la base des bourses. L'urètre est le canal qui passe le long de la verge, entre les deux corps caverneux et par lequel s'écoule le sperme et l'urine. L'un ne pouvant jamais passer en même temps que l'autre.

En général, les hommes apprécient une certaine fermeté que les femmes ont du mal à imaginer.

La mécanique

Pour dire les choses plus simplement, le sang arrive dans le sexe, ce qui le fait durcir par un mécanisme qui vient, soit du cerveau, soit d'une caresse... Le sang est bloqué, sous tension, dans le sexe, il ne peut plus s'échapper. Normalement, sa voie d'échappement, ce sont les veines, qui remontent au cœur, mais ces veines se bouchent car il y a des valvules, qui font office de clapets, le sang est bloqué là, ce qui permet l'érection.

Les zones de plaisir du pénis

Le gland : c'est l'endroit le plus érogène du pénis. Il est extrêmement riche en capteurs de plaisirs.

Le frein : C'est la zone du gland où les corpuscules de volupté sont hyper concentrés, donc la plus sensible au plaisir du corps masculin.

La couronne du gland : elle est un des endroits les plus à même de provoquer du plaisir.

Le dessous du pénis : là où il est moins dur, cette zone est très érogène. Un massage appuyé y provoque des sensations de plaisir intense et profond. Attention, c'est une zone sensible dosez le massage ...

Une précision : les zones érogènes ne sont jamais totalement superposables d'une personne à l'autre... Alors, même si les connaissances théoriques sont bien utiles, rien ne vaut la connaissance de l'autre pour aller ensemble vers plus de plaisir !

Les modes de stimulation du pénis

Des frottements rapides : le gland, le frein, la couronne du gland sont très sensibles à des frottements rapides. L'idéal est que ces frottements se fasse en milieu humide (lubrification vaginale, salive, gel...) car ils n'ont pas besoin d'être très appuyés. Le plus apprécié est souvent un mouvement relativement lent au début qui va s'accélérant.

La pression appuyée : elle est surtout pourvoyeuse de plaisir au niveau du dessous du pénis, là où il est le moins dur. Une pression importante et lente provoque une stimulation très efficace à explorer chez les hommes qui ne l'ont pas expérimentée !

Les idées reçues

Éjaculation égale plaisir ? Un homme peut éjaculer sans plaisir, car il existe des orgasmes physiques sans jouissance émotionnelle.

Si un homme éprouve du désir, il doit avoir une érection. Un homme, surtout si sa partenaire l'intimide peut très bien se trouver devant une panne sexuelle. Il peut aussi avoir une panne à cause de l'effet indésirable d'un médicament, d'alcool de substances illicites ou d'un problème de santé.

Plus le pénis est grand, meilleur c'est ! Ce qui compte le plus, c'est la rigidité du pénis et la manière de s'en servir. En effet, l'intérieur du vagin est surtout sensible à la pression appuyée, et les zones les plus sensibles à cette pression sont situées à quelques centimètres seulement de son entrée.

Un pénis, c'est agressif ! Cette idée est ancrée chez bien des femmes. On parle de pénétration, de « tirer un coup », de saignement et de douleur la première fois, de viol... De ce fait, certaines femmes n'ont pas une idée douce et tendre du pénis. Pourtant, c'est un organe très doux, fragile et sensible. Rassurez-vous messieurs la majorité des femmes le comparent à « un petit animal mignon qui aime les câlins » ! 


Si nous connaissons depuis longtemps la nécessité d'entretenir son corps pour le garder jeune le plus longtemps possible, nous nous contentons souvent de muscler et de garder en forme les endroits qui se voient : biceps, cuisses, ventre, seins, etc...

Mais en oubliant parfois les muscles qui se voient moins ou pas du tout et qui pourtant participent énormément à la qualité des relations sexuelles mais aussi à l'ensemble du bien-être quotidien. Pour exemple le périnée, ce muscle d'environ deux centimètres de long qui se trouve entre le bas du sexe et l'anus chez les hommes comme chez les femmes.

Cet espace si petit, qui n'a l'air de rien, soutient, à lui tout seul, tous les muscles et tous les organes qui se situent au niveau du bassin. Il a plusieurs fonctions capitales au niveau médical et érotique.

Au niveau médical : même chez des femmes très jeunes, il peut être un peu distendu et donc empêcher de se retenir de faire pipi à volonté. Les médecins appellent ça "l'incontinence urinaire". C'est encore plus fréquent chez les femmes jeunes ou moins jeunes qui ont accouché au moins une fois dans leur vie; le passage du bébé à la naissance a provoqué sur le périnée un tel effort que comme n'importe quel autre muscle, il a besoin d'être remis en état. Un périnée musclé empêche d'uriner involontairement et, mieux, il évite toutes les fuites qui se produisent quand l'on tousse, éternue ou lorsqu'on provoque une secousse à son corps. Un périnée entretenu peut aussi empêcher une descente d'organes que les médecins appellent "prolapsus" et qui est très handicapant. C'est très important, surtout quand on sait qu'avec l'âge, la situation empire et que plus l'on attend, plus c'est difficile à soigner.

Au niveau érotique : pour la vie amoureuse, un périnée musclé a des avantages supplémentaires; il permet à la femme, pendant qu'un homme la pénètre, de serrer, de contracter son vagin autour du sexe de l'homme. Elle peut alors augmenter le plaisir de l'homme qui se sent mieux entouré et augmenter son propre plaisir au point de favoriser des orgasmes presque aussi souvent qu'elle le souhaite. Et ceci à tous âges.

Après un peu d'entraînement, une femme peut facilement demander à l'homme d'arrêter le va-et-vient dans son ventre. Elle bloque le sexe de l'homme au fond de son sexe et contracte son vagin à répétition, par saccades. Les deux partenaires ressentent alors comme une masturbation interne très agréable qui peut se prolonger longtemps.

Pour s'entraîner et pour son plaisir, la femme peut très bien faire la même chose autour de deux ou trois doigts qu'elle met à l'intérieur de son sexe.



Découvrez-redécouvrez, explorez le corps de votre partenaire !
Ah, plaisir ... rien que le partage du plaisir !

Par Tarentule
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