Nous sommes partis aux aurores, ma Maîtresse a fait préparer la calèche et m'y attèle. Je la conduis jusqu'à un lieu ombragé près de la rivière. A l'arrière de la Calèche est solidement attaché un fauteuil. Je défais les cordes et le dispose sous un arbre, face à la rivière.

Dès que ma Maîtresse est bien installée, je lui apporte son nécessaire de pêche. Quant à moi je prépare méticuleusement tout le nécessaire pour le déjeuner. Une fois fini, je me mets agenou devant Elle, les mains derrière le dos, je bombe le torse pour mieux m'offrir à Elle.

Ma Maîtresse me prend délicatement mes tétons en érections entre ses pouces et index. Elle les roule entre ses doigts, Elle les caresse, Elle les étire, Elle les pince. Elle le fait de manière tendre, c'est ce que j'aime à penser, puis plus durement, voir violemment. J'aime qu'Elle joue avec mes émotions et que mon corps devient plus sien chaque jour qui passe.

Elle met sur ses genoux sa petite boîte à malice, y sort un hameçon et en une seconde celui-ci perce mon téton. Je ressens une douleur violente, mon sang me monte à la tête. J'ai comme un vertige, je ne peux rassembler mes esprits que la deuxième douleur me paralyse le corps. Les larmes me montent au yeux, je regarde Ma Divine Maîtresse. Son regard est douceur, Elle esquisse un de ses sourire qui ferait damner un Saint. Comment pourrais-je lui en vouloir, quand, Elle exerce une petite pression avec son pousse pour que l'hameçon ne rendre pas en contacte avec ses lèvres lorsque sa bouche s'abreuve des quelques gouttes de mon sang.

Les hameçons sont reliés aux fils de sa canne à pêche, celle-ci a été conçue spécialement à cet effet. «Enlèves le reste de tes vêlements, vas dans la rivière et ramènes-moi mon déjeuner !». Je m'exécute, je rentre dans l'eau. Mon exquise Maîtresse joue avec mes tétons, en appliquant de petites ou de grandes pressions avec son moulinet. Quant aux écrevisses, mes doigts de pieds leurs semblent être un met très appétissant. Avides de ma chaire, leurs pinces les emprisonnent.

Pour ma Maîtresse, je les laisse venir à moi et essaie d'en prendre le plus possible pour lui faire plaisir.

«Hum ! .... nous reviendrons, j'aime beaucoup la pêche aux écrevisses !»