« Approches ! Mets toi à quatre pattes et présentes-moi ton cul ! »
Les mains derrières le dos, la tête baissée Opale s’avance vers sa Maîtresse. En entendant cette ordre ses tétons sont déjà en érections, son clitoris est dur et tout gonflé, un doux liquide moite commence à couler de son vagin. Son corps commence à avoir des picotement de désirs, elle ne souhaite que recevoir caresses et humiliations.
Attachée sur la croix de St André, Grâce regarde la scène, elle n’a qu’une envie c’est d’être aux pieds de sa Maîtresse, que celle-ci lui apporte toute l’attention qu’elle mérite. Bâillonnée elle ne peut que gémir de frustrations.
« Mon cul de chienne est à Vous, Maîtresse »
« Remue le, fais-moi voir comme tu es excitée. Caresses-toi et introduis bien tes doigts dans ton vagin »
Pendant qu’Opale fait des va-et-vient avec ses doigts dans sa chatte humide et ardente ; sa perverse Maîtresse commence à lui caresser habillement son bouton de rose, puis prend à pleine main ses fesses et les écarte pour mieux le regarder. Elle crache sur le petit trou en chaleur; y introduit un doigt, puis deux, l’étroit passage commence à se dilater sous le plaisir. Peu à peu les doigts, puis sa main commence à explorer la chaude et délicieuse caverne. De sa main gauche Elle maintien la hanche d’opale et continue à la fouiller de plus en plus violemment. Opale à bout de souffle, sens que sa Maîtresse la possède toute entièrement, le plaisir parcours tout son être. Dans un ultime râle elle jouit.
Son corps transpire le plaisir, elle a envie de se blottir contre sa Maîtresse, lui montrer sa reconnaissance, lui donner du plaisir. Mais, elle se sent tout à coup empoignée par les cheveux et trainée à quatre pattes devant Grâce. D’un mouvement de main le visage d’Opale est devant le sexe de Grâce, ses lèvres se pose sur le clitoris de Grâce. Encore dans la frénésie de sa jouissance elle sort sa douce langue, elle le caresse, le mordille, le tète avidement. Sa langue descend vers la fente accueillante, elle la lèche et s’abreuve de l'exquis liquide. Telle une petite chatte elle lèche consciencieusement et fait bien attention de ne pas en perdre une goutte.
Leur Maîtresse a pris un fouet et titille les tétons de Grâce. Le fouet, lui procure de mordantes caresses. Son souffle est court, son corps se contorsionne de douleurs et de plaisir, elle n'a qu'une envie : « se faire prendre ». Que sa Maîtresse entende ses cris, ses gémissements, lui dire que son corps lui appartient qu'elle n'est que l'objet de tous ses désirs lubriques et sadiques. Elle a envie de sentir les mains de sa Maîtresse sur son corps. Mais elle ne lui montre qu'un visage plus ou moins crispé, des yeux mi-clos et de la salive qui coule de son bâillon. « Opale détache Grâce ! ».
La Maîtresse met un gode ceinture, celui-ci est bien long et large avec de belles nervures. « Mets toi à
genou sur le fauteuil et fait en sorte qu’Opale puisse te lécher et caresser tes seins » « Cambres toi bien ma petite Garce ! »
Le bout du gland est délicatement plaqué sur son anus et d’un petit mouvement brusque y est introduit, Grâce pousse un cri de douleur mélangé d’excitations. Sa Maîtresse la pénètre sans ménagement, la chaire s’offre et elle la sent se craqueler. Grâce bouge son cul sur la queue de sa Maîtresse, elle est de plus en plus en chaleur, elle la sent au plus profond d’elle. « Viens ma belle salope , empales-toi mieux sur ma queue, remues-moi ce cul ! » , « Engloutis dans ton antre mon objet de plaisir ! ». De la bouche de Grâce on n'entend que des râlement des grognement, elle a du mal a déglutir sa salive pendant qu’elle se fait enculer. Quand son plaisir touche l'apogée, sa Maîtresse sort son phallus de son cul et lui met celui-ci dans la bouche. Grâce le suce voracement pendant qu’Opale continue à la doigter et à s'abreuver de son délicieux nectar.
La Maîtresse laisse ses petites chiennes en chaleur jouer entre-elles et prend un peu de recul pour mieux apprécier le spectacle. Après quelques minutes elle revient vers elles avec des cordes. Elle les place dos à dos et les attache bras à bras et chevilles à chevilles. Puis Elle tourne lentement autour d’elles en les fouettant. Les morsures du fouet sont alternées par de douces caresses avidement attendues par ses deux esclaves.
Lorsque leur peau a pris une belle couleur rouge, elle les détache et va s'assoir sur le canapé et pose ses pieds
sur un petit tabouret. Opale lui sert une coupe de champagne et lui présente une coupelle de fruits. Quant à Grâce, elle baise délicatement les pieds de sa Maîtresse pour la
remercier.
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